L’exposition met en scène notre fascination pour les formes simples, qu’elles soient issues de la préhistoire ou contemporaines. Elle montre la façon dont celles-ci ont été fondamentales pour l’émergence de la modernité.
Le passage du XIXe au XX siècle est une période de redécouverte du vocabulaire de l’épure, au travers des grandes expositions universelles qui présentent un nouveau répertoire de formes, dont la simplicité va captiver les artistes et révolutionner le projet moderne. Celles-ci introduisent, dans l’évolution de l’art moderne, à la fois une alternative à l’éloquence du corps et l’hypothèse d’un universalisme des formes.
À cette époque, les débats qui naissent en physique, mathématique, phénoménologie, biologie et esthétique ont des conséquences majeures sur la mécanique, l'industrie, l'architecture et l'art en général. En 1912, alors qu’il visite le Salon de la locomotion aérienne en compagnie de Constantin Brancusi et de Fernand Léger, Marcel Duchamp tombe en arrêt devant une hélice d’avion et s’exclame : « C’est fini, la peinture. Qui désormais pourra faire mieux que cette hélice ? ».
Aujourd’hui encore, ces formes épurées, non géométriques, qui s’inscrivent dans l’espace comme dans une progression permanente, continuent d’exercer leur pouvoir d’attraction. Les artistes contemporains, minimalistes comme Ellsworth Kelly, spiritualistes comme Anish Kapoor, métaphysiques comme Tony Smith, ou encore poétiques comme Ernesto Neto, renouvellent l’attention que leur portèrent les inventeurs de la modernité.
Présentée comme une exposition poétique qui explore du point de vue de la sensation l’apparition des formes simples dans les mondes de l’art, de la nature et des outils, ce projet est fondé historiquement par un regard analytique sur l’histoire du XXe siècle.
L’exposition lie des événements scientifiques et des découvertes techniques avec la naissance des formes modernes. Elle rapproche des sujets industriels, mécaniques, mathématiques, physiques, biologiques, phénoménologiques ou archéologiques avec des objets d’art et d’architecture, tout en confrontant ceux-ci à leurs ancêtres archaïques et à des objets naturels.
La Fondation d’entreprise Hermès est coproductrice et mécène de l’exposition Formes simples. Avec les savoir-faire pour fil rouge, la Fondation d’entreprise Hermès* s’intéresse à la créativité déployée par l’homme pour façonner l’objet, l’outil, l’oeuvre. C’est pourquoi la Fondation et le Centre Pompidou-Metz se sont associés pour offrir à un large public un éclairage nouveau sur l’objet dans son épure et sur l’énergie créatrice générée par l'interaction entre l’homme et la nature.
Commissaire :
Jean de Loisy, Président du Palais de Tokyo
Commissaires associées :
Sandra Adam-Couralet, commissaire indépendante
Mouna Mekouar, commissaire indépendante
Scénographie :
Laurence Fontaine
* La Fondation d'entreprise Hermès accompagne celles et ceux qui apprennent, maîtrisent, transmettent et explorent les gestes créateurs pour construire le monde d'aujourd'hui et inventer celui de demain. Guidée par le fil rouge des savoir-faire et par la recherche de nouveaux usages, la Fondation agit suivant deux axes complémentaires : savoir-faire et création, savoir-faire et transmission.
La Fondation développe ses propres programmes : expositions et résidences d'artistes pour les arts plastiques, New Settings pour les arts de la scène, Prix Émile Hermès pour le design, Académie des savoir-faire, appels à projets pour la biodiversité. Elle soutient également, sur les cinq continents, des organismes qui agissent dans ces différents domaines.
Toutes les actions de la Fondation d'entreprise Hermès, dans leur diversité, sont dictées par une seule et même conviction : Nos gestes nous créent.
Cet ensemble préliminaire ne présente pas de formes simples mais il introduit un principe qui les caractérise souvent, une énergie qui travaille le monde : l’advenue de la forme latente dans la matière encore désorganisée. Comme saisis au cours de leurs métamorphoses, appartenant toujours à l’indistinct et déjà à la vie, des mouvements, des silhouettes, des visages gonflent les surfaces. Les œuvres rassemblées dans cette partie manifestent une énergie qui travaille le monde, en agite la fécondité, en accentue les évolutions. Ces objets rituels, sculptures, photographies ou dessins ne copient pas la réalité, ne représentent pas le visible mais miment ou interrogent la vitalité qui anime les choses.
La dynamique mystérieusement réglée de la mécanique du monde est révélée par la forme si simple de la Lune, contemplée par l’Humanité depuis l’aube des temps et source de multiples mythes en raison de sa constante transformation. Célébrée par les poètes, suggérée dans la céramique, peinte, observée, photographiée, atteinte enfin par l’homme, elle est la première forme simple. Qu’elle soit la Lune métaphorique des poètes ou la Lune algébrique des savants, elle suggère un processus autonome de métamorphose qui caractérise la forme comme stase d’une évolution, arrêt dans le temps.
Toute forme n’est qu’un état transitoire, provisoirement stabilisé de la matière. Énergie diffusante, expansive, elle manifeste la résonance d’une activité permanente présente au coeur des éléments : pierre, feu, air, eau. Une vitalité discernable à laquelle doivent méditer le moine, ou l’artiste, qui, par son dessin, accordera son geste, son souffle, son rythme pour exprimer les vibrations du cosmos qu’il ressent ou suppose. L’hypothèse d’une concordance entre l’état des choses, l’être et le monde nourrit de nombreuses traditions spirituelles dont, au début de la modernité, les mouvements gnostiques ou théosophiques inspirés par les philosophies orientales.
4. QUI POURRA FAIRE MIEUX QUE CETTE HÉLICE ?Des formes créées par les contraintes auxquelles elles se confrontent, adaptées aux forces qu’elles exercent pour parvenir à leur effet, composent cette section. Nées de la technique, elles acquièrent une beauté venue de leur parfaite adéquation aux nécessités. Des outils primitifs tels qu’un arc, un boomerang, possèdent déjà cette perfection qui, aux XIXe et XXe siècles, sera celle de l’ingénierie aéromécanique qui fascinera les artistes. Marcel Duchamp, en visite au Salon de la Locomotion aérienne en 1912, en compagnie de Constantin Brancusi et Fernand Léger, subjugué devant une hélice, affirmera ainsi : « C’est fini, la peinture. Qui désormais pourra faire mieux que cette hélice ? » L’attrait que suscitent les formes simples chez les artistes du XXe siècle puise en partie sa source dans cet intérêt pour des lignes détachées de toute subjectivité, donnant l’impression d’épouser les contraintes du monde auxquelles elles se confrontent et d’être issues, au moins métaphoriquement, des obligations physiques de leur relation à l’univers.
| 11. NATURE, BIOMORPHISMELe vivant, les cycles naturels d’évolution des végétaux, leur morphogenèse, les lois de leur développement interne, l’étude de leur diversité et de leur cycle de reproduction et de déclin sont, depuis Aristote – mais plus particulièrement depuis les deux derniers siècles –, l’objet d’études biologiques et de représentations graphiques ou photographiques qui en traquent et modélisent les étapes essentielles C’est au début du XXe siècle que les mécanismes physiologiques du fonctionnement végétal au niveau cellulaire et moléculaire sont identifiés. Les artistes s’inspirent alors de ce nouveau répertoire de formes, saisissant d’une feuille le contour, le ploiement, la valeur décorative ou symbolique, ou d’un fruit le processus de croissance en dehors de toute représentation, simplement par analogie, au plus près des principes, cette fois-ci poétisés, qui président à leur essor.
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Catalogue de l'exposition sous la direction de Jean de Loisy
Coédition Centre Pompidou-Metz / Fondation d'entreprise Hermès
Format : 23 × 28 cm, relié, 296 pages
Prix : 39 Euros
ISBN : 978-2-35983-030-9
SOMMAIRE
7 Avant-propos, Alain Seban
9 Préface en forme simple, Laurent Le Bon
11 Préface, Pierre-Alexis Dumas
17 Simples ?, Jean de Loisy
29 Il n'y pas de formes simples, Guitieme Maldonado
30 De la forme simple
PORTFOLIO
40 Plan de l'exposition
42 Avant la forme
54 La Lune
62 Flux
74 Qui pourra faire mieux que cette hélice ?
86 Le souffle
98 Contenir
106 Couper
116 Au-delà de la géométrie
130 Formes-forces
140 Formes mathématiques
152 Nature, biomorphisme
170 Formes génératrices
182 Silhouettes humaines
192 Silhouettes animales
200 Objets à réaction poétique
214 Le poids des choses
222 Énigmes
234 Remarques au hasard, Rosalind E. Krauss
242 Liste et notices des œuvres exposées
288 Générique
La sélection de citations qui ponctuent l’ouvrage a été réalisée par Marylène Malbert et Mouna Mekouar.
Dimanche 28 septembre 2014 à 10:30 et 11:45
Un dimanche, une œuvre
AUTOUR DE WHEN I AM PREGNANT D’ANISH KAPOOR (2012)
CLAIRE LAHUERTA
Fascinantes, les sculptures d’Anish Kapoor, dont trois sont présentées au Centre Pompidou-Metz dans les expositions Formes simples et Phares, peuvent étonner. Claire Lahuerta s’interroge sur le dynamisme inhérent à ces pièces mystérieuses, qui semblent se révéler indéfiniment, comme si elles évoluaient sans cesse.
GALERIE 2
45' - Entrée libre sur présentation d’un billet d’accès aux expositions
Jeudi 2 octobre 2014 à 19:00
Conférence
FORMES DE LA VIE : FORMES SIMPLES ?
GUITEMIE MALDONADO
Dans l’histoire de l’art abstrait, il est une phase particulièrement intrigante : celle où des artistes ont tiré leur inspiration de la vie, non de ses apparences, mais de ses formes élémentaires, de ses forces, de ses logiques internes. Et ce afin de conférer à leurs œuvres la même évidence, la même énergie voire, qui sait ?, la même capacité de renouvellement et de transformation. Les formes qu’ils créent alors s’apparentent à des œufs, des cellules, des amibes ou encore des galets, sans pour autant en être des représentations. Ce serait trop simple...
AUDITORIUM WENDEL
90' - 5€
Vendredi 3 octobre 2014 à 20:00
Cinéma
LE COMPLEXE DE LA SALAMANDRE
STÉPHANE MANCHEMATIN ET SERGE STEYER, RÉALISATEURS
EN PRÉSENCE DE PATRICK NEU, ARTISTE
Dans les Vosges où il vit à l’écart du monde de l’art, Patrick Neu façonne, à son rythme, une œuvre virtuose et singulière, à la fois contemporaine et sans âge. Au fil des saisons, entre travail concret et œuvres rêvées, entre précision du geste et économie de mots, entre promenades en forêt et brefs allers-retours à Paris, il relie l’art des maîtres anciens à la création contemporaine. Ce film documentaire est diffusé en avant-première dans le cadre de l’exposition Formes simples, qui présente une œuvre de Patrick Neu.
La projection sera précédée d'un concert du groupe Muckrackers, auteur de la bande-son du film et suivie d’une rencontre avec les réalisateurs et l’artiste.
AUDITORIUM WENDEL
80' - Entrée libre
Samedi 04 octobre 2014 : (action 01 :) non-retour
Dimanche 05 octobre 2014 : (action 02 :) rencontre-séparation
À partir de 14:30
Performance
(ACTION 01 :) NON-RETOUR (ACTION 02 :) RENCONTRE-SÉPARATION
MARIANNE MISPELAËRE
Au cœur de l’exposition Formes simples, l’artiste propose deux actions jouant sur l’interaction entre son geste et le papier. L’une d’elles consiste à transférer régulièrement sur la feuille des réseaux de lignes inscrites au cœur de sa main, créant ainsi des sortes de paysages organiques et fluides. Dans la seconde action, un pinceau trempé dans l’eau trace sur la feuille une ligne continue qui génère instantanément l’apparition de sillons et de renflements. Ces dessins abstraits sont répétés inlassablement, comme une sorte de mantra.
GALERIE 2
2h30 - Entrée libre sur présentation d’un billet d’accès aux expositions
Samedi 4 et dimanche 5 octobre 2014 à 11:00, 15:00 et 17:00
Performance
A RAINBOW IN CURVED WATER
TOMOKO SAUVAGE
En plongeant des micros dans des bols en porcelaine remplis d’eau, Tomoko Sauvage a créé un « synthétiseur naturel ». Du bout des doigts, elle joue avec les vagues, les goutte-à-goutte et les bulles, provoquant des clapotis légers et des résonances ondulantes. Les harmoniques se déploient et se répondent, plaçant le spectateur au cœur d’une cathédrale acoustique. Tomoko Sauvage offre un concert étrange, délicat et poétique, aussi apaisant à écouter qu’il est agréable à regarder. A Rainbow in Curved Water est un moment de pureté. Le spectacle se prolonge au-delà de la performance, quand les glaçons placés au-dessus du dispositif se changent en gouttes d’eau qui tombent et résonnent dans les bols.
GALERIE 3
45' - Entrée libre sur présentation d’un billet d’accès aux expositions
Samedi 4 et dimanche 5 octobre 2014 à 16:00
Danse
EXUVIE
JONATHAN PRANLAS ET CHRISTOPHE BÉRANGER
L’exuvie est l’enveloppe que certains animaux rejettent lors de la mue. Ce phénomène leur permet de croître, mais aussi de se détoxiquer, de faire peau neuve.
C’est en se glissant sous un parterre de cire encore presque liquide que les deux danseurs s’offrent ici une nouvelle peau, malléable, mais qui impose aussi ses propres exigences puisque sa consistance ne cesse d’évoluer. En la modelant, ils s’en extirpent, dansant avec elle, à l’écoute l’un de l’autre mais aussi de cette matière « vivante » devenue danseuse en puissance. Durcie, bâtie, elle occupe l’espace au même titre que le duo et le pousse à inventer une nouvelle façon d’évoluer ensemble.
STUDIO
70' - 10€ / 5€
Dimanche 5 octobre 2014 à 15:30 et 17:00
Danse
SOUNDDANCE
DE MERCE CUNNINGHAM
PAR LES DANSEURS DU CCN-BALLET DE LORRAINE
Sounddance (1975), chorégraphie rapide et énergique, est l’une des plus populaires de Merce Cunningham. Rythmée par une musique puissante spécialement composée par David Tudor, cette œuvre majeure n’a pas pris une ride. C’est après quelques semaines passées à travailler avec les danseurs classiques de l’Opéra de Paris qu’elle fut créée par le maître de la danse moderne. En retrouvant sa compagnie, il eut en effet envie d’une pièce aux antipodes des carcans académiques : une chorégraphie instinctive, libératrice, exubérante, que les danseurs n’exécuteraient pas à l’unisson. Autant d’ingrédients qui font de Sounddance une œuvre très intense et résolument moderne.
FORUM
17' - Entrée libre
Dimanche 5 octobre 2014 à 10:30 et 11:45
Un dimanche, une œuvre
GENÈSES D’OBJETS ANCIENS
PHILIPPE BRUNELLA
Les objets anciens reflètent ce que furent des techniques au service des besoins ou des aspirations d’une société. Ils contribuent ainsi à mieux l’appréhender, parfois à la connaître intimement. À partir d’objets prêtés pour l’exposition Formes simples par le musée de La Cour d’Or de Metz Métropole, Philippe Brunella se propose d’examiner comment certaines formes de fioles, bouteilles et serpe se sont progressivement imposées et répandues. Les savoir-faire mobilisés par les créateurs d’objets utilitaires antiques ou médiévaux seront aussi au cœur des réflexions qu’il vous livrera.
GALERIE 2
45' - Entrée libre sur présentation d’un billet d’accès aux expositions
Du 26 septembre 2014 au 1er mars 2015
LA GRANDE PLACE, MUSÉE DU CRISTAL SAINT-LOUIS
Présentée à La Grande Place, Musée du cristal Saint-Louis à Saint-Louis-lès-Bitche, l’exposition Simples gestes offre un prolongement à Formes simples.
« L’esprit fait la main, la main fait l’esprit. Le geste qui ne crée pas, le geste sans lendemain provoque et définit l’état de conscience. Le geste qui crée exerce une action continue sur la vie intérieure. La main arrache le toucher à sa passivité réceptive, elle l’organise pour l’expérience et pour l’action. Elle apprend à l’homme à posséder l’étendue, le poids, la densité, le nombre. Créant un univers inédit, elle y laisse partout son empreinte. Elle se mesure avec la matière qu’elle métamorphose, avec la forme qu’elle transfigure. Éducatrice de l’homme, elle le multiplie dans l’espace et dans le temps. »
Henri Focillon, Éloge de la main (1934)
« Au sein de la manufacture Saint-Louis, la plus ancienne cristallerie d’Europe (1586), dans le musée qui rassemble de remarquables réalisations de ses ateliers, l’exposition Simples Gestes est conçue en contrepoint du propos développé dans l’exposition Formes simples. Si cette dernière est consacrée à la fascination engendrée par les objets eux-mêmes, l’exposition de Saint-Louis se concentre sur l’amont de leur apparition : les gestes subtils des savoir-faire, les gestes machinaux des activités quotidiennes, les gestes aliénés de la répétition ou encore les gestes expressifs des relations humaines. Ces registres interprétés par les artistes dans leurs œuvres montrent cette écriture du corps qui nous dit tout autant qu’elle nous permet de faire. Le parcours qui se développe dans les collections historiques rassemble des artistes qui en sculpture, photographie ou vidéo mettent paradoxalement en évidence, à une époque numérisée, l’importance effective et persistante de nos gestes et plus particulièrement de nos mains (manufacture du latin manufactura « fait à la main »).
De l’usure immémoriale du galet par la paume qui le manipule (Gabriel Orozco) aux mouvements machinaux de nos tâches quotidiennes (Natacha Nisic, Ali Kazma), de la manipulation virtuose des outils (Jean-Luc Vilmouth, Guillaume Leblon) à la danse (Eva Kotatkova, Aneta Grzeszykowska et Émilie Pitoiset), ces gestes particularisent toujours l’homo faber que ce soit dans les mouvements élémentaires qui deviennent musique ou sculptures (Melik Ohanian, Jean-Marie Appriou) ou ceux codés qui aujourd’hui glissent sur les écrans électroniques (Julien Prévieux) qui ont envahi nos vies. Tous portent en eux le plus ancien et le plus actuel de notre humanité. ».
Jean de Loisy
Avec Simples Gestes, la Fondation d’entreprise Hermès inaugure un programme d’expositions temporaires à La Grande Place, musée du cristal Saint-Louis à Saint-Louis-lès-Bitche (Moselle).
La Fondation d’entreprise Hermès invite une institution culturelle lorraine à assurer la programmation de cet espace pour trois expositions consécutives. En 2014 et 2015, l’institution invitée est le Centre Pompidou-Metz.
Commissaires :
Jean de Loisy, Président du Palais de Tokyo
Sandra Adam-Couralet, commissaire indépendante
LA GRANDE PLACE, MUSÉE DU CRISTAL SAINT-LOUIS
Rue Coëtlosquet
57620 Saint-Louis-lès-Bitche
Exposition ouverte au public du 26 septembre 2014 au 1er mars 2015,
tous les jours de 10h à 18h, sauf le mardi (accès sans supplément au billet d’entrée du musée, tarifs : 6 €, 3 €).
La Fondation d’entreprise Hermès est coproductrice et mécène de l’exposition « Formes simples ».
Mécène fondateur du Centre Pompidou-Metz
En partenariat média avec