Author : | Sergueï Eisenstein (1932) |
Fasciné par les cultures mexicaines, Eisenstein retrace en une somptueuse épopée toute la complexité du Mexique et son histoire. Le montage, réalisé par son assistant Grigori Alexandrov en 1979, permet de découvrir la puissance de ces images tournées en 1932 mais confisquées alors par le producteur.
Author : | Pierre Jodlowski (2019) |
Réalisé en 1929 par Sergueï Eisenstein, La Ligne générale raconte le combat de Marfa, paysanne pauvre, pour mettre en place une coopérative agricole.
Pour ce film, le cinéaste rêvait de composer une bande son qui lui aurait permis d’expérimenter les différents principes de montage audiovisuel que l’avènement du film parlant lui semblait pouvoir offrir et dont il accueillit les potentialités avec enthousiasme. De ce projet, qu’il ne put jamais mettre en place, nous sont parvenus plusieurs feuillets comportant ses indications, précises et stimulantes.
À l’occasion de l’exposition L’Œil extatique, Pierre Jodlowski reprend ces notes d’intention pour composer une installation sonore dont la scénographie immersive renvoie au film.
Production du Centre Pompidou-Metz
Author : | Pierre Jodlowski (2000) Film de Sergueï Eisenstein (1925) |
Dans une usine en Russie au début du XXe siècle, la révolte gronde, et la police politique s’emploie à en trouver les meneurs. Le suicide d’un ouvrier accusé injustement de vol déclenche une grève, qui sera violemment réprimée par l’armée tsariste. Pour son premier film, Sergueï Eisenstein développe déjà ses théories sur le montage en utilisant surimpressions et gros plans. La Grève est une révolution cinématographique enlevée par la fougue, l’audace et la liberté du jeune réalisateur.
Le compositeur Pierre Jodlowski crée pour ce film muet un accompagnement musical électroacoustique. Fasciné par la dimension rythmique et gestuelle de La Grève, il apporte un nouvel éclairage à travers une musique dont l’intensité se rapproche de celle du film pour induire un rapport de forces avec l’énergie de l’image, pour mieux la déconstruire et en donner une interprétation sensible.
Scénario : Sergueï Eisenstein, Valeri Pletnev & Gregory Alexandrov.
Photographie : Edouard Tissé & Vassili Hvatov.
Production : Goskino.
Interprétation : Ivan Kljuvkin, Alexandre Antonove, Grigori Alexandrov.
Une production de la Cinémathèque de Toulouse
Création à Blagnac dans le cadre de la saison du Centre culturel Odyssud le 8 avril 2000
Les grands chefs-d’œuvre cinématographiques de Sergueï Eisenstein sont projetés pendant toute la durée de l’exposition : profitez-en pour voir ou revoir vos classiques !
VENDREDI
14:00 Le monde d’Eisenstein, diaporama – 10’
14:10 Le Cuirassé Potemkine 1925 – 1:20
15:30 Octobre 1927 – 1:40
SAMEDI
11:00 Le monde d’Eisenstein, diaporama – 10’
11:10 Ivan le Terrible, 1re partie 1944-46 – 1:40
14:00 Ivan le Terrible, 2e partie 1944-46 – 1:40
16:00 ¡ Que Viva Mexico ! 1932/79 – 1:25
DIMANCHE
11:00 Le monde d’Eisenstein, diaporama – 10’
11:10 Romance sentimentale 1930 – 20’
11:30 La Ligne générale 1929 – 1:30
14:00 Le Pré de Béjine 1937 – 30’
14:30 Alexandre Nevski 1938 – 1:52
16:25 Le Journal de Gloumov 1923 – 5’
16:30 La Grève 1925 – 1:18
Author : | Loïc Guénin |
Compositeur et artiste sonore, Loïc Guénin s’empare des villes, des bâtiments et des paysages et les retranscrit musicalement en une expérience singulière. Après New York ou la Cité Radieuse de Marseille, il s’attache à cinq lieux de Metz où se déroulent cinq performances à suivre tout au long de la journée. Écoute consciente ou papillonnante, sur un transat ou en famille, Loïc Guénin vous invite à entrer dans son univers musical pour vous faire redécouvrir votre ville.
Ce puzzle sera complété par une ultime performance donnée à l’Arsenal, qui reprendra les cinq pièces en intégralité.
Une production Cité musicale-Metz.
En partenariat avec Gares & Connexions.
Puisqu’il est question de chamanisme et fête des morts découvrons un groupe marqué par l’influence du Pérou et de sa musique populaire, la Chicha sorte de parent pauvre de la cumbia colombienne : XIXA (à prononcer avec la chicha en tête, mais de façon plus tranchée) se produit en pleine chaleur poudreuse de l'Arizona. De la région de Tucson pour être précis, où cohabitent des descendants d'Européens, Navajos et Mexicains. Trempez le tout dans un bain psychédélique, cela donne des effets de western halluciné, un « désert noir » selon leur propre expression.
Aux commandes, Gabriel Sullivan et Brian Lopez, tous deux passés par un certain Giant Sand (groupe fameux de Tucson), ont tracés depuis leurs carrières respectives, travaillant comme arrangeurs, producteurs, accompagnateurs et se sont retrouvés dans une passion commune pour la chicha péruvienne et le rock grisé aux apparitions, apparitions dorées comme ici au mitan de l’album.
Brian Lopez qui se définit comme un produit typique de la seconde et troisième génération de Latinos aux États-Unis : « mes grand-parents ne voulaient pas que mes parents parlent espagnol, ou qu’ils s’identifient même comme Latino. Nous parlions anglais à la maison, mais mes parents m’envoyaient quand même apprendre des danses folkloriques ainsi qu’à des cours bilingues ». Écho qui persiste jusque cette Nena Linda, manifestation la plus évidente de ce constat : « au centre de XIXA, il y a ce mélange de batterie et timbales latin », donc acte.
Après le concert de Xixa, la soirée se poursuit avec un DJ set. Laissez-vous entraîner par ces rythmes endiablés et célébrez la fête des morts haut et fort !
Après avoir fait partie du mythique Giant Sand, Brian Lopez et Gabriel Sullivan, accompagnés de cinq autres musiciens, forment XIXA: un groupe incontournable en Arizona ! Ce dernier est un mélange de leur expérience rock-indé et de leur passion commune pour la cumbia péruvienne. Le mix est stupéfiant ; un rock au flow latino sorti du désert. Ils font sensation avec leur premier album « Bloodline » et leur univers musical mystique et western. En attendant le deuxième album, prévu pour le mois de mai, on raffole de « The Code », single paru en février dernier où les guitares saturées rythment la voix grave, pour mieux servir la folie de la chicha. XIXA, entre l’Arizona et le Mexique, vous invite pour une expérience hallucinante.
Die Ausstellung Rebecca Horn. Theater der Metamorphosen im Centre Pompidou-Metz illustriert die bemerkenswert zahlreichen Ausdrucksformen, derer sich die Künstlerin in ihrer Praxis bedient. Nach einer Lungenerkrankung machte Rebecca Horn den Körper zum bevorzugten Werkstoff ihres Oeuvres. Mit einer Vorliebe für paradoxe Assoziationen inszeniert sie die dualistischen Prinzipien, die unser Leben prägen: Subjekt und Objekt, Körper und Maschine, Mensch und Tier, Verlangen und Gewalt, Stärke und Gebrechen, Harmonie und Chaos. Das Lebendige und das Unbelebte scheinen verwandelt: Das Objekt ist beseelt, wohingegen das Individuum sich durch seine physischen Unzulänglichkeiten und Wandlungsfähigkeit auszeichnet. Und genau daraus resultiert die beunruhigende Befremdung, das Unheimliche, in Horns Werk.
Pour les passionnés et les curieux, une visite exceptionnelle de deux heures vous fera pénétrer au cœur d’Opéra Monde. Accompagné par un médiateur, vous découvrirez les différentes sections thématiques de l’exposition allant de la scène comme peinture en mouvement, aux productions politiques et parfois utopiques, de formes plus radicales et de nouveaux lieux d’opéra, à la féérie ou encore la fureur des mythes. Vous explorerez certains grands classiques comme La Flûte enchantée, ou Norma – qui soulignent comment le répertoire manié avec audace, a servi à la fois de lieu de transgression, de transformation, tout en garantissant une certaine pérennité du genre. Un voyage qui ne vous laissera pas indifférent !
CALENDRIER DÉCEMBRE 2019, JANVIER 2020
Dimanche 29 décembre à 15h Dimanche 26 janvier à 15h |
Author : | Chorégraphie de Bintou Dembélé |
Les Indes Galantes #3 une production de la Compagnie Rualité |
« Les Indes galantes, ce sont de jeunes gens qui dansent au-dessus d’un volcan en éruption »
Clément Cogitore
Un groupe de douze danseurs réinterprètera certaines chorégraphies de l’opéra-ballet Les Indes galantes, mis en scène par Clément Cogitore et donné à l’Opéra Bastille en septembre-octobre 2019 à l’occasion des 350 ans de l’Opéra national de Paris.
Comment la musique de Jean-Philippe Rameau peut-elle mettre en mouvement les corps d’une autre époque, sculptés par d’autres histoires ? Ici c’est le Krump, l’Électro, le Voguing et le Popping qui seront convoqués et relieront la dimension incantatoire de la musique baroque à la portée cathartique de ces danses.
Le parti pris de Clément Cogitore et de Bintou Dembélé sera d’éblouir en se demandant ce qu’éclipse la lumière, sidérer en questionnant ce qui reste dans l’ombre, interroger les Lumières par la lumière.
Retrouvez le court métrage Les Indes galantes de Clément Cogitore dans le parcours de l’exposition Opéra Monde.
Chorégraphe : Bintou Dembélé
Chanteuse : Charléne Adjembé
Musicien Charles Amblard
DJ : DJ Morf
Danseurs:
Andramamantena Tim aka Tim
Ble Wilfried aka Wolf
Gallet Marion
Golitin Cintia
Goulinet Adrien
Hunt Cal
Kitoko Saday Moïse aka Kitoko
Loboko Vincent aka Vinii Revlon
Moreau Alexandre aka Cyborg
Lorenzo Leo aka The Arrow
Mbock Martine
Mpondo-Dicka Salomon aka Bidjé de Rosa
Assitant à la chorégraphie : Feroz Sahoulanide
Technicien lumière Sylvain Verdet
Chargé de production : Christopher Yggdre
Chargé d’administration : Bruno Viguier
Chaque weekend et pendant les vacances scolaires, partez à la découverte des expositions temporaires du Centre Pompidou-Metz. En famille ou entre amis, vous percerez les mystères des grands chefs-d’œuvre de l'histoire de l'art moderne et contemporain, accompagnés par l'un de nos conférenciers.
CALENDRIER FÉVRIER 2020
Vendredi 21 février à 15h Samedi 22 février à 15h Dimanche 23 février à 11h
|
Guidé par un conférencier, plongez au cœur de l’architecture spectaculaire imaginée par Shigeru Ban et Jean de Gastines. Du Forum aux jardins en passant par les réserves, le Centre Pompidou-Metz n’aura plus aucun secret pour vous !
Die Ausstellung Die Oper als Welt kreist um Begegnungen zwischen bildender Kunst und dem lyrischen Operngenre im 20. und 21. Jahrhundert. Dabei soll es um mehr gehen als Opern-Bühnenbilder aus Künstlerhand. Im Fokus steht vielmehr die Frage, inwiefern sich – in Anlehnung oder auch Widerspruch zum Wagnerschen Begriff des „Gesamtkunstwerkes“ – bildende Kunst und Oper gegenseitig befruchtet oder sogar beeinflusst haben. Im Kontext dieses gegenseitigen Gebens und Nehmens erweist sich die Oper als geeignetes Terrain und Katalysator für die Erprobung neuer ästhetischer und politischer Formen.
Depuis 2015, la vocation de la 3e Scène de l’Opéra national de Paris est de promouvoir par le numérique les différentes formes de la création actuelle au travers d’œuvres originales offrant un regard insolite sur l’univers de la musique, de la danse, de l’opéra, son patrimoine, ses métiers et l’architecture de ses lieux.
Lieu d’expérimentation et d’exploration artistique, cette scène digitale donne carte blanche à des artistes venus d’horizons très différents : plasticiens, cinéastes, compositeurs, photographes, chorégraphes, écrivains et dessinateurs sont invités à tisser des liens avec les arts lyriques et chorégraphiques.
Avec sa 3e Scène, l’Opéra de Paris a créé un véritable opéra « hors les murs » pour favoriser l’accès de tous les publics à l’opéra, trouver de nouveaux interlocuteurs et poursuivre le dialogue avec les nouvelles générations. Gratuite et accessible à tous, la 3e Scène enrichit chaque mois son catalogue d’une création inédite.
Le rayonnement des œuvres proposées ne cesse de grandir, notamment grâce à de nombreuses sélections dans des festivals de cinéma et des invitations dans des manifestations culturelles pluridisciplinaires, en France comme à l’étranger (collaborations avec le Centre Pompidou, le Fonds Hélène & Édouard Leclerc à Landerneau, la Nuit blanche de Paris, la Gaîté Lyrique, les Rencontres d’Arles, Beirut Art Film Festival, Festival Documenta Madrid....)
À sa façon, la 3e Scène crée une circulation inédite entre des artistes et l’opéra et, parmi eux, quelques-uns trouveront leur place dans les deux anniversaires que fête l’Opéra national de Paris en 2019 : les 350 ans de l’institution et les 30 ans de l’Opéra Bastille.
Ainsi Clément Cogitore, après le film Les Indes galantes, réalisé pour le digital, proposera sa vision théâtrale de l’oeuvre à l’Opéra Bastille, et Claude Lévêque qui, après Le Lac perdu pour la 3e Scène, a signé deux installations, l’une au Palais Garnier, l’autre à l’Opéra Bastille pour commémorer le double anniversaire de 2019.
Durant l’été 2019, dans le cadre de l’exposition Opéra Monde. La quête d’un art total, la 3e Scène de l’Opéra de Paris s’associe au Centre Pompidou-Metz pour une programmation de films, dont un inédit.
Programmation
Du 21 juin au 31 juillet :
– Matching numbers, Xavier Veilhan 14’24
– Patterns of life, Julien Prévieux 15’59
– États transitoires, Ill-Studio 5’18
– Étoiles, I see you, Wendy Morgan 2’49
– La grande sortie, Alex Prager 10’
– Giselle : The Walking Landscape, David Luraschi 4’08
– C’est presque au bout du monde, Mathieu Amalric 15’41
– Nephtali, Glen Keane 3’43
Du 1er août au 2 septembre :
– Le lac perdu, Claude Lévêque 7’35
– Ne me regarde pas, Stephanie Solinas 10’10
– Vibrato, Sébastien Laudenbach 7’23
– De longs discours dans vos cheveux, Alexandre Steiger 12’17
– Blue, Apichatpong Weerasethakul 12’17
– Breathing, Hiroshi Sugimoto 7’
– Grand hôtel Barbès, Ramzi Ben Sliman 11’51
– L’entretien - Inédit, Ugo Bienvenu et Félix De Givry 9’09
Author : | Chœur de femmes de l‘Opéra Théâtre de Metz Métropole |
L’Opéra-Théâtre de Metz Métropole propose un concert de son Chœur de Femmes, dirigé par Nathalie Marmeuse et Sergey Volyuzhskiy et mis en scène par Aurélie Barré. Cette soirée de musique contemporaine, a capella, s’articule autour des Récitations pour voix, créées par Georges Aperghis en 1982 au Festival d’Avignon.
Combinaison virtuose de sons, les Récitations mêlent des syllabes et des mots tantôt chantés, chuchotés ou criés et façonnent ainsi un langage imaginaire fascinant. Un tour de force pour l’interprète, à la fois chanteuse et comédienne ! Le programme de ce concert nous fera également découvrir des œuvres d’autres grands compositeurs actuels tels que les Français Pascal Dusapin et Christophe Bertrand (jeune musicien virtuose disparu en 2010 à l’âge de 29 ans), les Américains Steve Reich et David Ives ou encore les Finlandais Olli Kortekangas et Einojuhani Rautavaara.
Clapping Music, Steve Reich
Ikikaiku, Olli Kortekangas
IAO, Christophe Bertrand
Récitations, Georges Aperghis
Kiss my lips, Pascal Dusapin
Suite de Lorca, Einojuhani Rautavaara
Direction : Nathalie Marmeuse, Sergey Volyuzhskiy
Mise en scène : Aurélie Barré
Werden Sie Mitglied im Centre Pompidou-Metz und genießen Sie besondere Vorteile :
Durant cette journée automnale, des contes en écho au travail de l’artiste résonneront dans la galerie de l’exposition. Dirigés par la conteuse Nathalie Galloro, les adhérents du Centre Pompidou-Metz vous feront entrer dans l’imaginaire des métamorphoses.
Author : | Vincent Segal, Lucie Antunes, Ariane Michel |
Rebecca Horn envisage la mise en scène de l’exposition comme un motif musical, une expérience sensorielle et acoustique, au sein de laquelle les sons, les mouvements et les sentiments entrent en résonance. Inspirés par l’univers de Rebecca Horn, qui met en tension les lignes mélodiques de la musique de Strauss ou Wagner, avec la mélancolie de la musique tzigane ou les dissonances bruitistes, le violoncelliste Vincent Segal accompagné de la percussionniste Lucie Antunes transforment l’exposition en salle de concert. Ils composent un libre parcours à travers le Centre Pompidou-Metz, conjuguant harmonie, humour, fureur et folie, afin de rendre sensibles les correspondances entre sons et formes, silence et anarchie qui sous-tendent l’œuvre de l’artiste. Les images vidéo d’Ariane Michel, en écho à celles de Rebecca Horn, viennent explorer à leur tour le monde des animaux, des végétaux et des éléments transformés en champ de force, proposant une expérience sensorielle au cœur du vivant.
Author : | Dominique Gonzalez-Foerster |
Création à l’Opéra-Théâtre de Metz Métropole, une œuvre du parcours Pierres Numériques du festival Constellations de Metz.
Entre fiction et réalité, le travail de Dominique Gonzalez- Foerster convoque à la fois les influences de l’opéra, de la littérature et du cinéma. Admiratrice des compositions de Giacomo Puccini, Giuseppe Verdi et Philip Glass, elle rêve elle-même de mettre en scène un jour un opéra. Dans son environnement OPERA (QM.15), réalisé en 2016, elle empruntait par ailleurs les traits de Maria Callas dans sa célèbre robe rouge, qui est pour elle une figure « puissante et obsédante », pour apparaître sous la forme d’un hologramme, créant une présence fantomatique bercée par les célèbres arias de la cantatrice.
En 2015, le jury de museum in progress, présidé par Daniel Birnbaum et Hans-Ulrich Obrist, l’invite à réaliser une œuvre pour le rideau de fer de l’Opéra d’État de Vienne, intitulée Helen & Gordon, pour laquelle elle s’inspire d’une photographie de Gordon Parks publiée dans le célèbre magazine Life en 1957, représentant la peintre Helen Frankenthaler dans son atelier. Ce rideau sera présenté de manière exceptionnelle sur la scène de l’Opéra-Théâtre de Metz.
Dans le cadre d’une commande conjointe du Centre Pompidou-Metz et de l’Opéra national de Paris, Dominique Gonzalez-Foerster imagine également une nouvelle « apparition », intitulée Marienbad électrique, que le public découvrira par surprise après avoir contemplé son rideau de fer, dans l’esprit de ses œuvres où émergeaient les personnages de Fitzcarraldo ou Marilyn Monroe.
L’artiste offre l’opportunité de poursuivre l’expérience de l’exposition Opéra Monde, en plongeant le visiteur au cœur de son univers créatif, ainsi qu’une occasion unique de découvrir l’un des plus anciens théâtres de France.
Les deux œuvres sont présentées à l’Opéra-Théâtre de Metz Métropole dans le cadre du parcours Pierres Numériques du festival Constellations de Metz et sera présentée parallèlement au Palais Garnier à Paris. Tout au long de l’été, l’Opéra-Théâtre de Metz Métropole sera accessible aux mêmes horaires que les autres œuvres présentées dans le parcours nuit du festival Constellation de Metz. Pour les informations pratiques, consulter le programme de Constellations de Metz.
L’œuvre Marienbad électrique, conçue par Dominique Gonzalez-Foerster, est une commande conjointe de l’Opéra national de Paris et du Centre Pompidou-Metz.
L’œuvre, accueillie à l’Opéra–Théâtre de Metz Métropole, a bénéficié du soutien de Metz Métropole dans le cadre du festival Constellations de Metz, un festival de la Ville de Metz, réalisé en partenariat avec le programme européen INTERREG, la Région Grand Est, le Département de la Moselle, Metz Métropole et Inspire Metz.
![]() | ![]() |
Chaque weekend et pendant les vacances scolaires, partez à la découverte des expositions temporaires du Centre Pompidou-Metz. En famille ou entre amis, vous percerez les mystères des grands chefs-d’œuvre de l'histoire de l'art moderne et contemporain, accompagnés par l'un de nos conférenciers.
CALENDRIER DÉCEMBRE 2019, JANVIER 2020
Samedi 21 décembre à 15h
Mercredi 25 décembre à 11h
Dimanche 29 décembre à 15h
Mercredi 1er janvier à 11h
Dimanche 5 janvier à 11h
Dimanche 19 janvier à 11h
Samedi 25 janvier à 15h
Chaque weekend et pendant les vacances scolaires, partez à la découverte des expositions temporaires du Centre Pompidou-Metz. En famille ou entre amis, vous percerez les mystères des grands chefs-d’œuvre de l'histoire de l'art moderne et contemporain, accompagnés par l'un de nos conférenciers.
CALENDRIER DÉCEMBRE 2019, JANVIER 2020
Samedi 21 décembre à 11h Jeudi 26 décembre à 15h Dimanche 29 décembre à 11hJeudi 2 janvier à 15h Dimanche 5 janvier à 15h Samedi 11 janvier à 15h Dimanche 12 janvier à 11h
|