Guidé par un conférencier, plongez au cœur de l'installation I hear voices de Nadia Lauro et de l’architecture spectaculaire imaginée par Shigeru Ban et Jean de Gastines. Du Studio aux jardins en passant par les réserves, le Centre Pompidou-Metz n’aura plus aucun secret pour vous !
Author : | József Trefeli & Gábor Varga |
József Trefeli et Gábor Varga vous invitent à ce bal pour découvrir les danses et les musiques de Hongrie et de Transylvanie telles qu’elles se pratiquent aujourd’hui : dans la verve de l’improvisation !
Accompagnés par les danseurs et danseuses de Pannonia - Danse Hongroise et les musiciens du groupe hongrois Felvonó, venez danser le tango de l’Europe de l’Est, la salsa Transylvanienne et le hip-hop des Carpathes !
Concept & chorégraphie : József Trefeli, Gábor Varga
Danse : József Trefeli, Gábor Varga ou Gyula Cserepes
Musique : Fred Jarabo
Musiciens du bal : Veronika Székely (violon), László Soós (alto), Dávid Horváth (contrebasse)
Administration : Laure Chapel, Paquis Production
Author : | Ellen Fullman |
Ellen Fullman est une légende des musiques minimalistes américaines. Elle a mis au point un instrument hors norme, The Long String Instrument, constitué de cordes de piano, de sitar et de tambura tendues sur plusieurs dizaines de mètres. Dans une chorégraphie presque fantomatique, Ellen Fullman provoque des entremêlements harmoniques d’une magnifique complexité et crée des vibrations puissantes évoquant les bourdons de la musique classique aussi bien indienne que les expériences du Theatre of Eternal Music fondé par La Monte Young. L’expérience du Long String Instrument vous plonge à l’intérieur d’un immense piano dont les cordes se mettraient à chanter leur propre chant, en une résonance enivrante.
En partenariat avec l’association Fragment
Author : | d’Éliane Radigue par Hélène Breschand et Louis-Michel Marion |
Figure majeure de la musique contemporaine électronique, Éliane Radigue mène depuis les années 1960 des expérimentations autour des synthétiseurs. Elle évolue auprès d’artistes plasticiens tels Arman ou Yves Klein et rencontre aux États-Unis La Monte Young, Steve Reich ou encore Philip Glass.
Depuis 2006, elle se consacre exclusivement à la composition pour instruments acoustiques et à Occam, un cycle d’œuvres en évolution permanente, construites en collaboration avec le groupe d’interprètes qu’elle a rassemblés et baptisés les « Chevaliers d’Occam ». Dans la droite ligne du minimalisme, Occam fait référence au rasoir d’Occam, principe philosophique selon lequel les hypothèses les plus simples doivent être considérées en premier.
Pour ce concert exceptionnel, Louis-Michel Marion à la contrebasse et Hélène Breschand à la harpe donnent vie à des pièces d’une infinie délicatesse qui invitent à la contemplation.
En partenariat avec l’association Fragment
Author : | József Trefeli & Gábor Varga |
Les danseurs József Trefeli et Gábor Varga, tous deux issus de la diaspora hongroise, se rencontrent pour un spectacle explosif et étonnant. De leur héritage commun, ils retiennent la czardas, reine des danses traditionnelles hongroises, qu’ils dépouillent de ses attributs folkloriques. Au plus proche du public, dans un espace délimité par des rubans de chantier, les deux danseurs explorent les rythmes et rituels originels en les confrontant au contexte actuel.
Ces frictions inédites sont aussi un travail de mémoire et d’identité où le corps se fait instrument sonore. De ces percussions corporelles, frappes de pied, de mains et sur le corps, claquements de doigts, surgissent des rythmes complexes dansés avec une dextérité fascinante. De la virtuosité en toute simplicité.
Concept & chorégraphie : József Trefeli, Gábor Varga
Danse : József Trefeli, Gábor Varga ou Gyula Cserepes
Musique : Fred Jarabo
Administration : Laure Chapel, Paquis Production
En raison des mesures sanitaires mises en place pour lutter contre la pandémie de Covid-19, il ne sera pas possible de toucher les rochers ou de s'y asseoir. Ainsi, le volume sonore des podcasts est augmenté afin de permettre une écoute en toute sécurité.
Le Centre Pompidou-Metz accueille I hear voices, une installation visuelle de Nadia Lauro conçue pour l’Atelier des Podcasts du Centre Pompidou.
I hear voices est un paysage fictionnel constitué de rochers sonores diffusant des voix. Cet espace immersif est pensé comme un jardin public d’intérieur, un environnement visuel pour entendre, une invitation à expérimenter plusieurs postures d’écoute et de pratiques du son. Il présente une sélection d’œuvres sonores de la collection Nouveaux Médias du Centre Pompidou ainsi qu’un choix d’épisodes des podcasts du Centre Pompidou.
En 2020, le Centre Pompidou-Metz fête ses 10 ans.
Du 2 mars au 12 avril, vous êtes invités à partager vos plus belles photographies du bâtiment sur Instagram, en utilisant les hashtags #concoursphotoCPM #cpm10ans et en identifiant @centrepompidoumetz_ !
Les photographies gagnantes seront dévoilées au Centre Pompidou-Metz à l’occasion du week-end de célébration des 10 ans du Centre Pompidou-Metz (du 15 au 17 mai 2020). Les photographies seront publiées sur le site republicain-lorrain.fr par le Républicain Lorrain et feront éventuellement l’objet d’une campagne digitale et d’affichage orchestrée par le Centre Pompidou-Metz.
Modalités de participation
Le règlement complet du concours photo est disponible ici.
Nos partenaires :
Wer weiß, dass Wassily Kandinsky seine Karriere als Ethnograph in Russland begann? Dass Constantin Brâncușis Urgroßvater in Rumänien traditionelle Holzkirchen baute? Dass die abstrakte Malerei Natalja Gontscharowas von spanischen Kostümen inspiriert war? Dass Joseph Beuys sagte, er sehe die Folklore als Werkzeug, um die Zukunft zu verstehen, oder dass Marcel Broodthaers plante, die Adlersektion seines Museum für Moderne Kunst um eine Folkloresektion zu ergänzen?
Die mit Tradition gleichgestellte und somit scheinbar im Widerspruch zu Avantgarde stehende Folklore durchdringt als ständiger Gegenstand von Kontroversen auf unterschiedliche Weise ganze Segmente der Moderne und des zeitgenössischen Kunstschaffens. Fern des Klischees einer überholten und künstlichen Vergangenheit, fanden Künstler in ihr neben einem Gegenstand der kritischen Analyse oder des Disputs auch eine Inspirationsquelle, eine regenerierende Kraft.
Von den Anfängen der modernen Kunst bis zur Gegenwartskunst zeigt diese Ausstellung, die vom Centre Pompidou-Metz in Zusammenarbeit mit dem Mucem (Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée) konzipiert wurde, die manchmal ambivalenten Beziehungen auf, die Künstler zur Folklore unterhalten, und von der formalen Entlehnung bis zur Nachahmung einer Methode, von der Faszination bis zur kritischen Ironie reichen. Die Ausstellung Folklore, die sich im Wesentlichen auf eine europäische Definition und Geschichte dieses Begriffs konzentriert, bietet auch eine Begegnung von Kunstgeschichte und Geschichte der Geisteswissenschaften, da sie parallel dazu – insbesondere dank der Bestände des Mucem, Erbin des Musée National des Arts et Traditions Populaires – die Erfindung und allmähliche Institutionalisierung einer Disziplin offenbart.
Die Definition von Folklore war und ist mit hitzigen Debatten verbunden: Der Begriff, der Mitte des 19. Jahrhunderts in England geprägt wurde, bedeutet wörtlich „Wissen des Volkes“. Aufgrund des Amateurismus von oft selbsternannten Spezialisten oder weil er zu ideologischen Zwecken missbraucht wird, befeuert er in intellektuellen und wissenschaftlichen Kreisen leidenschaftlich ausgetragene Auseinandersetzungen, was bisweilen dazu führt, dass Folkloristen als Künstler betrachtet werden, und umgekehrt.
Die Ausstellung beginnt mit dem Phantasiegebilde einer Herkunftssuche, der Anziehungskraft einer „inneren Exotik“ oder vermeintlicher archaischer Überreste, die Ende des 19. Jahrhunderts für Paul Gauguin, Paul Sérusier und die Nabis in der Bretagne prägend waren, Wassilly Kandinsky und Gabriele Münter beschäftigten, als sie sich in Bayern niederließen, und auch bei Constantin Brâncuși mit Einflüssen der handwerklichen Traditionen seines Heimatlandes Spuren hinterließen.
Rasch werden die Paradoxien eines Bereichs deutlich, der nicht selten mit nationalistischen Parolen in Verbindung gebracht oder im politischen Diskurs instrumentalisiert wird – diese Spannungen nehmen einen zentralen Platz in Werken von Künstler*innen wie Jimmie Durham, Valentin Carron, Melanie Manchot und Amy O’Neill ein.
Die Ausstellung setzt sich mit einer Folklore fort, die für Künstler auch einen Pool an Formen und ein unerschöpfliches Repertoire an Motiven und Techniken darstellt und zur Erneuerung des Wortschatzes der bildenden Kunst beigetragen hat, wie unter anderem die Arbeiten aus Werkstätten des Bauhaus, von Sophie Taeuber-Arp oder auch die Gemälde von Natalja Gontscharowa zeigen. Diese formale Neuaneignung darf jedoch nicht vergessen lassen, dass diese Motive und Symbole gelegentlich eine hintergründige Sprachebene bergen: Wie einige volkstümliche Ausdrücke, haben auch Werke von Július Koller oder Endri Dani eine subversive Ebene.
Der Begriff „Folklore“ ist zutiefst mit der immateriellen und mündlichen Überlieferung verbunden: Dialekte, Sprichwörter, Musik, Tänze, Riten und Überzeugungen, Aberglauben, Phantasiewesen. Viele Künstler der Nachkriegszeit, darunter Joseph Beuys oder Constant, später auch Michel Aubry oder Susan Hiller, interessierte nicht der materielle, sondern vor allem der konzeptuelle Inhalt der Folklore, der auch im Mittelpunkt der Ausstellung steht.
Als in den 1970er Jahren in der internationalen Kunstszene die anthropologische Dimension der Kunst in den Vordergrund rückte, bedienten sich einige Künstler der von den Ethnologen entwickelten Methoden des Nachforschens und Sammelns, der Klassifizierung und der Rekonstitution und gingen fasziniert der neuen Museographie des Alltags nach, wovon Marcel Broodthaers, Raymond Hains und Claudio Costa, sowie als Vertreter der jüngeren Genreation Jeremy Deller und Alan Kane, Pierre Fisher und Justin Meekel zeugen, die in diesem Abschnitt Modell sitzen für das Porträt der „Künstler als Folkloristen“.
Schließlich untersucht die Ausstellung im Zeitalter der von einem Hang zur Vereinheitlichung begleiteten Globalisierung, das mit einer für die Tourismusindustrie fortgesetzten oder von Grund auf neu geschaffenen Folklore einhergeht, die paradoxalen „neuen Geographien der Folklore“, die sich wie die Populationen und zusammen mit ihnen weiterbewegt und von Künstlern unablässig neu betrachtet oder gar neu erfunden wird: Bertille Bak, Corentin Grossmann, Pierre Huyghe, Johanna Kandl…
Die Ausstellung Folklore , die zwischen 2020, dem Jahr des 10-jährigen Jubiläums des Centre Pompidou-Metz, und 2021 in Metz und Marseille gezeigt wird, ist mit einem die Jahreszeiten durchziehenden Begleitprogramm aus Konzerten, Vorführungen und Aufführungen verbunden, das die in vielen Folkloren gefeierten Zyklen der Natur widerspiegelt.
Kuratoren: Jean-Marie Gallais, Leiter der Programmplanung, Centre Pompidou-Metz, und Marie-Charlotte Calafat, Leiterin des Sektors Geschichte, Mucem
Wissenschaftlicher Mitarbeiter: Arnaud Dejeammes, Centre Pompidou-Metz
Die Ausstellung Folklore würde von Centre Pompidou-Metz konzipiert und organisiert, in Partnerschaft mit dem Mucem, Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée. Sie ist vom 21. Oktober 2020 bis zum 22. Februar 2021 im Museum in Marseille zu sehen.
Mit Unterstützung des Moselabtellung:
Gründungsmäzen:
Mit Unterstützung des
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Mit der Beteiligung von
Mit Beteiligungvon Vranken-Pommery Monopole.
In Medienpartnerschaft mit
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Who knows that Wassily Kandinsky started his career as an ethnographer in Russia? That Constantin Brancusi's great grandfather was a traditional wood churches builder in Romania? That Natalia Gontcharova developed an abstract painting inspired by Spanish costumes? That Joseph Beuys declared seeing in folklore a tool for the comprehension for the future, or that Marcel Broodthaers intended adding a « folklore section » to his Modern art museum - Département des Aigles ?
Associated with tradition, and therefore in appearance opposed to the notion of avant-garde, the world of folklore, subject to multiple controversies, infiltrates in different ways large areas of modernity and of contemporary creation. Far from the clichés of being backward-looking and artificial, artists have been able to find in it a source of inspiration, a regenerative power; as well as an object of critical analysis or of contention.
From the early stages of modern art to the most current art, this exhibition, conceived by the Centre Pompidou-Metz, in collaboration with the Mucem (Museum of European and Mediterranean Civilisations), recounts the relationships, sometimes ambiguous, that artists nurture with folklore, from the formal borrowing to the imitation of a method, from fascination, to critical irony. Concentrating essentially on one definition and a European history of the term, the Folklore exhibition also offers an encounter between the history of art and the history of human sciences, because it unveils simultaneously the invention and the progressive institutionalisation of a discipline, notably thanks to the resources of the Mucem, the heir to the National Museum of Popular Arts and Traditions.
The definition of folklore generated and still generates today important controversies: the term, created in England in the middle of the 19th century, and meaning literally " the knowledge of the people", whipped up intense quarrels at the heart of the intellectual and scientific circles, because of ideological recuperation or of the amateurism of selfproclaimed specialists - to such a point that we sometimes have considered the folklorist as an artist and vice versa.
The exhibition opens on the fantasy of a search for origins, the appeal of an "exoticism of the interior", or of supposed archaic throw-backs which guide Paul Gauguin, Paul Sérusier and les Nabis in Brittany at the end of the 19th century, Wassily Kandinsky and Gabriele Münter when they establish themselves in Bavaria or indeed Constantin Brâncuși, recalling the craft traditions of his native country. The paradoxes rapidly come to the surface from a domain frequently associated with nationalistic claims, or instrumentalised by a political discourse - tensions at the heart of the initiatives of artists such as Jimmie Durham, Valentin Carron, Melanie Manchot or Amy O’Neill.
The exhibition continues with the folklore which also constitutes for artists a pool of forms and an inexhaustible repertoire of motives and techniques, having contributed to the renewal of the vocabulary of the visual arts, as the work from the Bauhaus workshops and of Sophie Taeuber-Arp are there to illustrate, or the paintings of Natalia Gontcharova amongst others. However, this formal reappropriation should not allow us to forget that the motives and symbols contain from time to time a subjacent language: in this way, the works of Július Koller or of Endri Dani also take on, in the same way as certain folkloric expressions, a subversive aspect.
The term « folklore » is fundamentally tied to the immaterial and to the oral tradition: dialects, proverbs, music, dances, rituals, beliefs, superstitions and fantastic creatures. It is this more conceptual than material content in folklore which interests numerous postwar artists, amongst whom Joseph Beuys or Constant, or more recently Michel Aubry or Susan Hiller, who are also present at the centre of the exhibition.
Even though during the course of the 1970's the anthropological dimension of art came to the fore on the international scene, artists borrowed from ethnographers their research and data collection methods, followed by classification and reconstitution, and would notably be fascinated by this new everyday museography, as Marcel Broodthaers, Raymond Hains and Claudio Costa bare testify, just as more recent generations, Jeremy Deller and Alan Kane, Pierre Fischer and Justin Meekel, leading here to provide a clear picture of « the artist as folklorist ».
Finally, the era of globalisation which accompanies a tendency towards uniformisation, in which are perpetuated, newly created folklores for the tourist industry, the exhibition will explore the paradoxals « new geographical areas of folklore » which like populations, continue to move around with them and never cease to be reinvented by artists: Bertille Bak, Corentin Grossmann, Pierre Huyghe, Johanna Kandl…
Presented in Metz and then in Marseille, between 2020, 10th anniversary year for the Centre Pompidou-Metz, and 2021, the exhibition Folklore will be punctuated with associated events (concerts, projections, shows), which will be spread out as the four seasons go by, as an echo to the natural rhythms celebrated in numerous folklores.
Curators: JJean-Marie Gallais, Head of Programming Centre Pompidou-Metz, and Marie- Charlotte Calafat, Head of the History Department Mucem
Exhibition and Research Manager: Arnaud Dejeammes, Centre Pompidou-Metz
The exhibition Folklore was conceived and organized by Centre Pompidou-Metz in partnership with the Mucem, Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée. It will be presented in the institution in Marseille from October 21st, 2020 to February 22nd, 2021.
With the support of Moselle department:
Founding sponsor:
With the support of
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With the endorsement of
With the participation of Vranken-Pommery Monopole.
In media partnership with
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Author : | Carolina Fonseca |
En compagnie de l’artiste Carolina Fonseca, initiez-vous à la technique de la sculpture dite du moule perdu pour concevoir un objet sculpté. Guidés par les conseils de l’artiste, vous dessinerez et fabriquerez votre moule, avant de couler la sculpture. Après une visite de l’exposition Des Mondes construits à la rencontre d’œuvres de Constantin Brancusi ou Alexander Calder, vous pourrez libérer votre sculpture de son moule pour repartir avec une création en trois dimensions tout droit sortie de votre imagination !
Author : | Jérôme Geles |
En raison des mesures sanitaires mises en place pour lutter contre la pandémie de Covid-19, le Centre Pompidou-Metz limite la jauge à 10 personnes en simultané dans l'espace de la Capsule. Les outils utilisés par les enfants sont régulièrement désinfectés.
Omniprésent dans la pensée et le travail d’Yves Klein, le rêve de voler l’est également dans la pratique de Jérôme Gelès. Déjouant la gravité, ses œuvres vous invitent à poursuivre le rêve d’Icare : voler, grâce à l’intelligence humaine et la mécanique.
Grâce aux activités de la Capsule, laissez-vous porter par la légèreté et venez imaginer et construire la machine volante dont vous avez toujours secrètement rêvé !
La Capsule est un lieu de rencontres, d’échanges et de pratique artistique ouvert à tous.
#LaCapsuleCPM
Author : | Apolline Muet |
En raison des mesures sanitaires mises en place pour lutter contre la pandémie de Covid-19, le Centre Pompidou-Metz limite la jauge à 3 personnes en simultané dans l'espace de la Capsule. Les outils utilisés par les enfants et les poignées de l'installation d'Apolline Muet sont régulièrement désinfectés.
Apolline Muet invente des objets ludiques et narratifs qui font le bonheur des petits et des grands.
En écho à l’exposition Des Mondes construits, elle a imaginé une bibliothèque de formes en mouvement et en couleurs. Libre à vous de puiser parmi ces motifs et pourquoi pas en inventer d’autres pour créer votre propre installation en hommage aux machines inutiles imaginées par Bruno Munari.
La Capsule est un lieu de rencontres, d’échanges et de pratique artistique ouvert à tous.
#LaCapsuleCPM
Author : | Camille Audibert |
À l’occasion de l’exposition Folklore, l’atelier Mix & Match propose de revisiter les plus célèbres légendes lorraines et de découvrir des traditions plus lointaines.
À l’aide de formes de tissus prédécoupées et rembourrées à mélanger et à assembler, guidés par un univers sonore et des consignes orales, les enfants pourront faire revivre les monstres folkloriques de leur album de contes ou en imaginer de nouveaux.
Cet été, c’est décidé, on bouscule les traditions, on dépoussière les vieux dragons, le Graoully n’a qu’à bien se tenir !
Le Centre Pompidou-Metz se réserve le droit de proposer une activité jeune public de substitution dans le cas où le nombre minimum de 2 participants ne serait pas atteint. Aucun remboursement ne pourra être effectué.
Les ateliers enfants bénéficient du soutien du Groupe UEM et de sa filiale efluid :
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Author : | Camille Audibert |
À l’occasion de l’exposition Folklore, l’atelier Mix & Match propose de revisiter les plus célèbres légendes lorraines et de découvrir des traditions plus lointaines.
À l’aide de formes de tissus prédécoupées et rembourrées à mélanger et à assembler, guidés par un univers sonore et des consignes orales, les enfants pourront faire revivre les monstres folkloriques de leur album de contes ou en imaginer de nouveaux.
Cet été, c’est décidé, on bouscule les traditions, on dépoussière les vieux dragons, le Graoully n’a qu’à bien se tenir !
Le Centre Pompidou-Metz se réserve le droit de proposer une activité jeune public de substitution dans le cas où le nombre minimum de 2 participants ne serait pas atteint. Aucun remboursement ne pourra être effectué.
Les ateliers enfants bénéficient du soutien du Groupe UEM et de sa filiale efluid :
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Author : | Camille Renault |
Camille Renault propose aux enfants de s’initier à une technique bien particulière pour créer un livre-sculpture.
À partir d’une simple bande de papier, de fil, de dessin et d’un peu de magie, les volumes prennent vie, le paysage se déploie dans l’espace, une histoire naît.
Les ateliers enfants bénéficient du soutien du Groupe UEM et de sa filiale efluid :
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Author : | Camille Renault |
Camille Renault propose aux enfants de s’initier à une technique bien particulière pour créer un livre-sculpture.
À partir d’une simple bande de papier, de fil, de dessin et d’un peu de magie, les volumes prennent vie, le paysage se déploie dans l’espace, une histoire naît.
Les ateliers enfants bénéficient du soutien du Groupe UEM et de sa filiale efluid :
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Author : | Camille Renault |
Est-ce une chorégraphie de brindilles, un chapiteau ou un entrelacement de fils ?
Non, c’est une sculpture !
Camille Renault est une artiste qui s'intéresse avant tout à l'émotion qui naît devant un objet qui s'anime.
Ses créations spontanées, délicates et festives se mettent en mouvement et se transforment au moindre souffle. Elles vont investir l’espace de l’atelier pour amener les enfants à expérimenter la nature même de la sculpture.
Avec du mouvement, des éclats de lumière, du fil et de l’émerveillement les enfants seront invités à créer des sculptures de poche avec lesquelles ils pourront repartir.
Author : | Camille Renault |
En raison des mesures sanitaires mises en place pour lutter contre la pandémie de Covid-19, les outils utilisés par les enfants sont régulièrement désinfectés. La jauge de cet atelier est limité à 8 enfants.
Est-ce une chorégraphie de brindilles, un chapiteau ou un entrelacement de fils ?
Non, c’est une sculpture !
Camille Renault est une artiste qui s'intéresse avant tout à l'émotion qui naît devant un objet qui s'anime.
Ses créations spontanées, délicates et festives se mettent en mouvement et se transforment au moindre souffle. Elles vont investir l’espace de l’atelier pour amener les enfants à expérimenter la nature même de la sculpture.
Avec du mouvement, des éclats de lumière, du fil et de l’émerveillement les enfants seront invités à créer des sculptures de poche avec lesquelles ils pourront repartir.
Le Centre Pompidou-Metz se réserve le droit de proposer une activité jeune public de substitution dans le cas où le nombre minimum de 2 participants ne serait pas atteint. Aucun remboursement ne pourra être effectué.
Les ateliers enfants bénéficient du soutien du Groupe UEM et de sa filiale efluid :
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Author : | Camille Renault |
En raison des mesures sanitaires mises en place pour lutter contre la pandémie de Covid-19, les outils utilisés par les enfants sont régulièrement désinfectés. La jauge de cet atelier est limité à 12 enfants.
Est-ce une chorégraphie de brindilles, un chapiteau ou un entrelacement de fils ?
Non, c’est une sculpture !
Camille Renault est une artiste qui s'intéresse avant tout à l'émotion qui naît devant un objet qui s'anime.
Ses créations spontanées, délicates et festives se mettent en mouvement et se transforment au moindre souffle. Elles vont investir l’espace de l’atelier pour amener les enfants à expérimenter la nature même de la sculpture.
Avec du mouvement, des éclats de lumière, du fil et de l’émerveillement les enfants seront invités à créer des sculptures de poche avec lesquelles ils pourront repartir.
Le Centre Pompidou-Metz se réserve le droit de proposer une activité jeune public de substitution dans le cas où le nombre minimum de 2 participants ne serait pas atteint. Aucun remboursement ne pourra être effectué.
Les ateliers enfants bénéficient du soutien du Groupe UEM et de sa filiale efluid :
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Un simple choix de cadrage, d'éclairage, d'angle de vue ou de mise en scène, et hop! Deux photos, prises au même moment, au même endroit, et ayant le même objet peuvent véhiculer des significations totalement contraires.
Prenez un petit moment pour apprendre à décrypter le vrai du faux !