Author : | Antonin Caniparoli |
En raison des mesures sanitaires mises en place pour lutter contre la pandémie de Covid-19, les outils utilisés par les enfants sont régulièrement désinfectés. La jauge de cet atelier est limitée à 8 enfants.
Pour cet atelier qui s’inscrit en écho à l’exposition Chagall. Le passeur de lumière, Antonin Caniparoli vous invite à jouer avec les formes de l’art sacré ! Détournant volontairement la forme du retable, pièce architecturale décorée qui se déploie à l’arrière des autels dans la plupart des églises, pour se rapprocher de celle du vitrail, il choisit de l’associer à des papiers découpés et des tampons aux formes inspirées de celles qui peuplent les tableaux de Chagall. Leur appropriation et leur utilisation permettra aux enfants de jouer et de comprendre la multitude de symboles que l’on retrouve dans les peintures et les vitraux du maître. Dans une atmosphère feutrée rappelant l’intérieur d’une cathédrale, l’atelier aboutira à la création d’un petit objet coloré.
Le Centre Pompidou-Metz se réserve le droit de proposer une activité jeune public de substitution dans le cas où le nombre minimum de 2 participants ne serait pas atteint. Aucun remboursement ne pourra être effectué.
Les ateliers enfants bénéficient du soutien du Groupe UEM et de sa filiale efluid :
![]() | ![]() |
Author : | Antonin Caniparoli |
En raison des mesures sanitaires mises en place pour lutter contre la pandémie de Covid-19, les outils utilisés par les enfants sont régulièrement désinfectés. La jauge de cet atelier est limitée à 12 enfants.
Pour cet atelier qui s’inscrit en écho à l’exposition Chagall. Le passeur de lumière, Antonin Caniparoli vous invite à jouer avec les formes de l’art sacré ! Détournant volontairement la forme du retable, pièce architecturale décorée qui se déploie à l’arrière des autels dans la plupart des églises, pour se rapprocher de celle du vitrail, il choisit de l’associer à des papiers découpés et des tampons aux formes inspirées de celles qui peuplent les tableaux de Chagall. Leur appropriation et leur utilisation permettra aux enfants de jouer et de comprendre la multitude de symboles que l’on retrouve dans les peintures et les vitraux du maître. Dans une atmosphère feutrée rappelant l’intérieur d’une cathédrale, l’atelier aboutira à la création d’un petit objet coloré.
Le Centre Pompidou-Metz se réserve le droit de proposer une activité jeune public de substitution dans le cas où le nombre minimum de 2 participants ne serait pas atteint. Aucun remboursement ne pourra être effectué.
Les ateliers enfants bénéficient du soutien du Groupe UEM et de sa filiale efluid :
![]() | ![]() |
Le musée départemental Georges de La Tour et le musée départemental du sel s’associent autour de l’exposition Folklore présentée au Centre Pompidou-Metz jusqu’au 4 octobre et proposent des ateliers, des conférences et des contes.
Port du masque obligatoire
Les règles de distanciation physique seront respectées
Mercredi 16 septembre
Samain : fête traditionnelle du folklore celte
Le folklore celtique s’invite au musée du sel avec l’automne qui arrive. Les feuilles sont à l’honneur pour cette fête celtique de Samain : activités pour enfants, création de paysages et de décors d’automne. Enfants de 3 à 6 ans 10h30 – 12h00 - 3€ / Enfants de 7 à 12 ans 14h30 - 16h30 - 3€
Samedi 19 et dimanche 20 septembre
Dans le cadre des journées européennes du patrimoine, le musée du sel vous présente une série de cartes postales du folklore des territoires de Marsal et Vic-sur-Seille ainsi que des costumes lorrains.
Mercredi 30 septembre
La légende de Saint Livier : viens découvrir la vie de Saint Livier par la légende et la sculpture
Séance de contes suivie d’un atelier. Sur réservation.
Enfants de 3 à 6 ans 10h30 – 12h00 - 3€ / Enfants de 7 à 12 ans 14h30 - 16h30 - 3€
Musée du sel
Porte de France 57630 Marsal
Tél. 03 87 35 01 50
Courriel : mdsm@moselle.fr
Samedi 19 septembre de 14h30 à 16h
Le roman de Renart,célèbre ouvrage issu du folklore français, s’invite au musée Georges de La Tour le temps d’une animation destinée au jeune public.
La lecture des passages les plus emblématiques du roman ainsi que d’autres activités permettront aux enfants de découvrir cet ouvrage médiéval qui a traversé les siècles.
Enfants de 7 à 12 ans
Gratuit dans le cadre des journées européennes du patrimoine
Samedi 19 et dimanche 20 septembre
Dans le cadre des journées européennes du patrimoine, le musée Georges de La Tour vous présente une série de cartes postales représentant le folklore des territoires de Vic-sur-Seille et Marsal ainsi que des costumes lorrains.
Vendredi 25 septembre à 19h - ANNULE
Conférence : présentation de l’exposition Folklore au Centre Pompidou-Metz
par Jean-Marie Gallais, commissaire de l’exposition - 5€
Sur réservation – 25 personnes maximum
Musée Georges de La Tour
Place Jeanne d’Arc
57630 Vic-sur-Seille
Tél. 03 87 78 05 30
Courriel : mdgdlt@moselle.fr
La médiathèque de Bitche et le Centre Pompidou-Metz proposent une rencontre à deux voix, en résonance à l’exposition Folklore, visible au centre d’art jusqu’au 4 octobre.
À partir d’une sélection d’oeuvres de l’exposition présentées par Anne Fleury, chargée du développement des publics au Centre Pompidou-Metz, Alphonse Walter, comédien et metteur en scène, vous plongera dans le folklore local à travers des contes et légendes, à la rencontre de mythes, rituels, personnages réels ou imaginaires, et créatures maléfiques.
Cette rencontre est faite à la suite de lectures et de narrations réalisées sur Radio Studio1 au mois d’août, à partir de la collecte de contes d’Angelika Merkelbach-Pink.
Jeudi 17 septembre à 20h
Public adulte – Entrée gratuite
Sur réservation
Les 10 premiers inscrits à la rencontre pourront bénéficier d’une entrée offerte pour visiter l’exposition Folklore du Centre Pompidou-Metz.
Médiathèque Joseph Schaefer
44 Rue Saint-Augustin
57230 Bitche
Tél : 03 87 06 15 76
Jeudi 1er octobre de 19h à 21h
À l’occasion d’une déambulation au sein des locaux des archives, vous découvrirez un corpus de documents allant du Moyen Âge à nos jours illustrant le folklore mosellan (légende du Graoully, contes mosellans, folkloristes mosellans, ...)
Archives départementales de la Moselle
1 allée du Château – Saint-Julien-lès-Metz
Gratuit - Réservation obligatoire au 03 87 78 05 00
www.archives57.com
Les 10 premiers inscrits à la visite nocturne pourront bénéficier d’une entrée offerte pour visiter l’exposition Folklore du Centre Pompidou-Metz
À l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine, profitez de l’entrée gratuite aux expositions, des visites guidées qui vous emmènent dans les coulisses du lieu et vous font découvrir tous les secrets de l’architecture du bâtiment, de l'ouverture en continu sur la journée de l’atelier 5-12 ans et la Capsule.
VISITE DE L’ARCHITECTURE ET DES COULISSES
Samedi 19 et dimanche 20 septembre 2020 à 11h, 15h et 16h
60’
Gratuit
Inscription sur place le jour J
ATELIER 5-12 ANS : Sculpture de poche
Camille Renault
Découvrez l’atelier qui plonge les enfants dans la magie d'un objet qui s'anime.
Samedi 19 et dimanche 20 septembre 2020 de 10:00 à 18:00 en continu
Accès libre
LA CAPSULE : Machines Volantes
Jérôme Geles
Dans cet espace de création ouvert à tous, poursuivez le rêve d’Icare : voler, grâce à l’intelligence humaine et la mécanique !
Samedi 19 et dimanche 20 septembre 2020 de 10:00 à 18:00 en continu
Accès libre
Guidé par un conférencier, plongez au cœur de l’architecture spectaculaire imaginée par Shigeru Ban et Jean de Gastines. Du Forum aux jardins en passant par les réserves, le Centre Pompidou-Metz n’aura plus aucun secret pour vous !
Author : | Pierre Huyghe |
Pour Pierre Huyghe, le folklore est un sujet récurrent, qui permet d’« accentuer le coefficient de fiction contenu dans la réalité ». Avec Streamside Day (2003), l’artiste imagine une célébration communautaire pour les nouveaux habitants d’une ville de banlieue américaine sortie de terre au milieu d’une forêt. Ce folklore créé par l'artiste pourrait-il devenir une coutume ?
Le film sera suivi du long-métrage The Host and the Cloud, réalisé en 2010 suite à une série d'actions et de performances à Paris. Pour ce film, Pierre Huyghe investit en effet l’ancien musée national des arts et traditions populaires dans le Bois de Boulogne, pour y orchestrer des situations, rites étranges où se mêlent imaginaire, histoire collective, légendes et science-fiction, passé, présent et futur.
(Pour public averti)
Streamside day, Pierre Huyghe (2010)
The Host and the Cloud, Pierre Huyghe (2011)
Pour les 50 ans de l’œuvre Éden, Éden, Éden, le Centre Pompidou-Metz rend hommage à l’écrivain Pierre Guyotat, en participant à une initiative internationale de l’Association Pierre Guyotat qui réunit cinquante lieux de France et du monde, parmi lesquels : Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia (Madrid), Mudam (Luxembourg), Galleria Borghese (Rome), Garage Museum of Contemporary Art (Moscou), Museo de Arte Latino americano de Buenos Aires, Palazzo Grassi (Venise), Théâtre National de Strasbourg.
Le Centre Pompidou-Metz s’associe à l’initiative portée par l’Association Pierre Guyotat et rend hommage à l’écrivain par une lecture publique le mercredi 9 septembre 2020 à partir de 16h dans le Paper Tube Structure de Shigeru Ban et Jean de Gastines - lieu mythique uniquement habité de livres à lire ou à relire - , retransmise sur ses réseaux sociaux à partir de 19h.
À cette occasion, des extraits de l’œuvre Éden, Éden, Éden seront lus en français, ou dans les langues des traductions existantes - dont l’allemand et l’italien - par des artistes spécialement invités, des lecteurs amis du musée et des interlocuteurs de la ville de Metz et de sa Métropole.
Avec les lectures de l’artiste et éditrice Simone Fattal, l’artiste Susanna Fritscher, Michèle Paradon, directrice artistique de la Cité Musicale de Metz, Philippe Brunella, directeur du Musée de La Cour d’Or de Metz Métropole, Paul-Émile Fourny, directeur de l’Opéra-Théâtre de Metz Métropole, Fanny Gonella, directrice du Frac Lorraine avec Margot Delalande et Agnès Violeau, Christel de Wendel ainsi que des représentants des Bibliothèques-Médiathèques de Metz, de l’École supérieure de Lorraine, de l’Université de Lorraine, de l’IRTS, de la Librairie La Cour des grands : Guy Didier, Didier Doumergue, Pierre Ravenel, Agnès Gorchkoff, Julie Rémy, Isabelle Martin, Benoit Bradel, directeur du Festival Passages et Chiara Parisi, directrice du Centre Pompidou-Metz avec Igor Boïko et Pierre Wilk.
Parue le 9 septembre 1970, préfacée par Roland Barthes, Michel Leiris, Philippe Sollers, immédiatement célébrée par Michel Foucault, Éden, Éden, Éden, a provoqué scandale, fascinations, admirations. Censurée, l’oeuvre est soutenue par une pétition internationale, associant les voix de Joseph Beuys, Pier Paolo Pasolini, Pierre Boulez, Italo Calvino, et Jean-Paul Sartre.
Fiction « saharienne », selon les termes de l’auteur, l’œuvre mêle guerre, sexualité, cosmologie dans une langue française renouvelée et ouvre un champ entier de réflexions politiques, aussi bien quant à la détermination sexuelle qu’au sujet des luttes contre l’oppression et la domination coloniale.
À propos de l’auteur...
Né en 1940 à Bourg-Argental (Loire), Pierre Guyotat est l’auteur d’une oeuvre majeure de la langue française : la puissance de son verbe et l’audace de ses fictions, depuis Tombeau pour cinq cent mille soldats en 1967 et Éden, Éden, Éden en 1970, jusqu’à Joyeux Animaux de la misère 1 et 2 en 2014 et 2016, exercent fascination et influence en France et à l’étranger. Ses dessins sont exposés à Paris, Berlin, Londres, Rome, New York, Los Angeles, Bruxelles et à l’automne 2020 à Marseille dans le cadre de Manifesta. En 2010, il reçoit le Prix de la Bibliothèque nationale de France ; en 2018, le Prix Médicis, le Prix de la langue française ainsi que le Prix spécial du Jury Femina pour Idiotie. Pierre Guyotat s’est éteint le 7 février 2020 dernier, à Paris.
Author : | Gladys Bourdon |
Le Centre Pompidou-Metz accueille en résidence l'artiste Gladys Bourdon du lundi 10 août au dimanche 13 septembre, dans le cadre du dispositif « Transat » lancé par le Ministère de la Culture pour venir en aide à la jeune création, en partenariat avec les Ateliers Médicis. Cette résidence est consacrée pour moitié à la création personnelle de l’artiste rémoise et pour moitié à la rencontre avec le public et la transmission.
Prenez part au projet de Gladys Bourdon et réalisez avec elle ce ciel des possibles, dispositif généralisable qui prend la forme d'un laboratoire « à ciel ouvert ».
Une vue du ciel provenant d’Aladin — un atlas interactif du ciel — a été imprimée avec une trame bitmap sur une série de formats A4 afin de recouvrir une partie d'un mur, du plafond et du sol de la Capsule. Cet espace défini comme Le ciel des possibles, est un lieu en constante évolution où tout un chacun est invité à adopter de nouveaux points de vue. Chaque morceau de ciel imprimé est au fil du projet remplacé par son interprétation réalisée en dessin, sur un même format A4, à la fois par le public et par l’artiste.
Le ciel des possibles est un atelier commun où Gladys Bourdon prend place de manière continue en partageant et en co-construisant l’œuvre.
Ce projet invite également à questionner la manière dont nous souhaitons voir le ciel et à quel point nous avons besoin de nous l'approprier.
Les technologies terrestres et spatiales actuelles nous permettent de produire des images relativement précises du ciel étoilé. Dans la limite des moyens dont nous disposons, il nous est donné à voir sous différentes longueurs d'onde, sous différents angles afin de pouvoir exploiter une grande diversité de données. Par ailleurs, selon les cultures, l'époque et la perception de chacun, l'image représentant le ciel est en perpétuelle évolution.
Author : | Gladys Bourdon |
Le Centre Pompidou-Metz accueille en résidence l'artiste Gladys Bourdon du lundi 10 août au dimanche 13 septembre, dans le cadre du dispositif « Transat » lancé par le Ministère de la Culture pour venir en aide à la jeune création, en partenariat avec les Ateliers Médicis. Cette résidence est consacrée pour moitié à la création personnelle de l’artiste rémoise et pour moitié à la rencontre avec le public et la transmission.
Suite à une période de confinement où nous avons dû nous cantonner à côtoyer des espaces clos et restreints, il est aujourd'hui impératif de penser à redéfinir ces lieux du quotidien, et d'élargir nos frontières de l'imaginaire.
Le ciel des possibles est un dispositif généralisable qui prend la forme d'un laboratoire « à ciel ouvert » où il sera possible de révéler de nouvelles dimensions.
Une vue du ciel provenant d’Aladin — un atlas interactif du ciel — a été imprimée avec une trame bitmap sur une série de formats A4 afin de recouvrir une partie d'un mur, du plafond et du sol de la Capsule. Cet espace défini comme Le ciel des possibles, est un lieu en constante évolution où tout un chacun est invité à adopter de nouveaux points de vue.
Chaque morceau de ciel imprimé est au fil du projet remplacé par son interprétation réalisée en dessin, sur un même format A4, à la fois par le public et par l’artiste.
Le ciel des possibles est un atelier commun où Gladys Bourdon prend place de manière continue en partageant et en co-construisant l’œuvre.
Ce projet invite également à questionner la manière dont nous souhaitons voir le ciel et à quel point nous avons besoin de nous l'approprier.
Les technologies terrestres et spatiales actuelles nous permettent de produire des images relativement précises du ciel étoilé. Dans la limite des moyens dont nous disposons, il nous est donné à voir sous différentes longueurs d'onde, sous différents angles afin de pouvoir exploiter une grande diversité de données. Par ailleurs, selon les cultures, l'époque et la perception de chacun, l'image représentant le ciel est en perpétuelle évolution.
Guidé par un conférencier, plongez au cœur de l’architecture spectaculaire imaginée par Shigeru Ban et Jean de Gastines. Du Forum aux jardins en passant par les réserves, le Centre Pompidou-Metz n’aura plus aucun secret pour vous !
CALENDRIER FÉVRIER 2021
Vendredi 26 février à 15h
Tout ou partie des œuvres figurant dans ce dossier de presse sont protégées par le droit d’auteur. Les œuvres de l’ADAGP (www.adagp.fr) peuvent être publiées aux conditions suivantes :
Pour les publications de presse ayant conclu une convention avec l’ADAGP : se référer aux stipulations de celle-ci.
Pour les autres publications de presse :
Der Mensch mag seit Ikarus vom Fliegen träumen, doch es gelang ihm erst im 18. Jahrhundert mit Hilfe von aufblasbaren Hüllen, die die Flügel ersetzen mussten. Die Geschichte der aufblasbaren Objekte, die parallel zur Geschichte der Luftfahrt verläuft, erzählt von einer organischeren Beziehung zum Fliegen. Die Hülle ist eine Metapher für die Haut, ein Schutz für einen Körper, der eine unmittelbare Nähe zur Luft zulässt. Das aufblasbare, pneumatische Objekt trägt in sich die Idee des „Pneuma“, des Atems – eine unmittelbare Beziehung zum Leben, zum Ereignis, zum Leben.
Von den ersten industriellen und militärischen Verwendungszwecken (Luftschiffe, Wetterballons, Schwimmkörper und aufblasbare Köder...) bis hin zu den Experimenten vieler Künstler, Designer und Architekten verdeutlicht die Ausstellung diese menschliche Dimension des „Pneumatischen“.
Mitte des 20. Jahrhunderts vervielfachte das Aufkommen neuer Materialien (Gummi und Derivate, Kunststoffe, Gewebe usw.) die Einsatz- und Anwendungsmöglichkeiten von aufblasbaren Strukturen.
Den von Richard Buckminster Fuller angestoßenen „realisierten Utopien“ folgend, tragen zahlreiche Architekten, darunter Victor Lundy, Walter Bird, Frei Otto, Gernot Minke, Cedric Price und Arthur Quarmby, dazu bei, dem aufblasbaren Objekt auch zu einer architektonischen Glaubwürdigkeit zu verhelfen. Im Mai 1967 fand in Stuttgart ein denkwürdiges Symposium zu diesem Thema statt, das zu einer Referenz für Kollektive wie Archigram, Ant Farm und die Eventstructure Research Group wurde, die an einer neuen mobilen und modularen Architektur arbeiteten, und das auch Künstler aus aller Welt, etwa Graham Stevens oder Panamarenko, Architekten (Jean Aubert, Jean-Paul Jungmann, Antoine Stinco, Hans Walter Muller, Johanne und Gernot Nalbach sowie Günther Domenig und Eilfried Huth) beeinflusste. Den eigentlichen internationalen Durchbruch und den Einzug in die öffentliche Wahrnehmung schaffte das aufblasbare Objekt jedoch erst mit einigen legendären Ausstellungen, darunter die Ausstellung „Structures gonflables“ im Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris im Jahr 1968, den Pavillons der Weltausstellung in Osaka 1970 (darunter der Pavillon von Yutaka Murata) und schließlich der Documenta V in Kassel 1972, bei der Künstler und Architekten wie Christo, Hans Hollein, Haus-Rucker-Co, Coop Himmelb(l)au mit ihren Werken den öffentlichen Raum einnahmen.
Von da an wurde das aufblasbare Objekt zu einer Vielzahl von Möbeln, Unterkünften und Strukturen. Die vermehrt verfügbaren Kunststoffpolymere trugen zu einem einzigartigen Aufblühen von Kreationen, Formen und Farben bei. Das Mobiliar von Bernard Quentin, A.J.S. Aérolande, Quasar, De Pas, d’Urbino und Lomazzi begleitete die Bilderwelt der Pop-Art und ließ eine „Verspieltheit“ in Szenerien und Anwendungen Einzug halten.
Bald nahm sich die ökologische Debatte des Kunststoffs an, gegen den und andere Erdölprodukte damals noch kein Verdachtsmoment vorlag. Vielmehr wurde die aufblasbare Architektur als „Architektur der Luft“ wahrgenommen, die sich der endgültigen und unumkehrbaren Verankerung in Zeit und Raum entzieht und ohne Fundament und schweren Materialien auskommt. So setzte sich in England der Künstler Graham Stevens dafür ein, der Verwendung von pneumatischen Strukturen eine ökologische Dimension zu verleihen.
Sie erwarb auch eine kritische und politische Funktion. Seine Unbeständigkeit verleiht dem aufblasbaren Objekt darüber hinaus eine zeitlose Dimension – die des Ereignisses, der Handlung, der Teilnahme. Dass es das Instrument einer Intervention ist, entgeht weder Künstlern wie den Mitgliedern von Gruppo N, Piero Manzoni, Yves Klein, Hans Haacke, Otto Piene, Marinus Boezem, Lars Englund und Andy Warhol, noch Architekten wie UFO, Utopie oder den Gründern der Wiener Szene, die es zum Instrument einer kritischen Alternative machen. Als sichtbares Zeichen der die junge Generation umtreibenden Protestbewegung dienen die aufblasbaren Objekte als Prisma für eine neue Betrachtung der uns umgebenden Welt (wie etwa die Urboeffimeri von UFO) und neue Formen des Zusammenlebens (Instant City, Ibiza, 1971). Das aufblasbare Objekt wird daher von der Gruppe A.J.S. Aérolande, bestehend aus Jean Aubert, Jean-Paul Jungmann und Antoine Stinco, dazu genutzt, den Wettbewerb Prix de Rome am Vorabend von Mai 68 in Frage zu stellen und eine neue, modulierbare, festliche und unentwegt veränderbare Art des Bauens vorzuschlagen.
Nach der Ölkrise Ende der 1970er Jahre, die das Ende des sorglosen Umgangs mit Kunststoff einläutete, verschwand das Aufblasbare, das von der Postmoderne in Misskredit gebracht wurde, allmählich aus dem Blickfeld. Mit dem Aufkommen neuer und umweltfreundlicherer Technologien geht es seit knapp einem Jahrzehnt wieder aufwärts mit dem aufblasbaren Objekt, das in den Augen vieler Architekten (Diller Scofidio + Renfro, Nicholas Grimshaw, Arata Isozaki, Herzog & de Meuron, Snøhetta…) eine Alternative verkörpert. Mit dem Aufblasbaren können räumliche Möglichkeiten neu sondiert und neuartige perzeptive und kognitive Erfahrungen ermöglicht werden. Die jüngst in Erscheinung getretenen organischen Textilien lassen auf Entwicklungen der Forschung hoffen, durch die das Aufblasbare der Architektur und dem Design neue Möglichkeiten eröffnet und neue Prinzipien des Bauens in die Wege leitet, wie unter anderem die Experimente von Achim Menges, amid.cero9, Kengo Kuma, Mad Architects Zero und Selgascano zeigen.
Kuratoren: Frédéric Migayrou, stellvertretender Direktor des Musée National d’Art Moderne – Centre de création industrielle, Centre Pompidou, und Valentina Moimas, Kuratorin in der Architekturabteilung des Musée National d’Art Moderne – Centre de création industrielle, Centre Pompidou.
If the dream of flying has accompanied man since Icarus, it is really with the idea of an inflatable sheath, taking the place of the deployment of wings, that it became effective starting from the 18th century. The history of inflatables, parallel with that of aeronautics, is that of the development of a more organic relationship to the aerial. The sheath is a metaphor for the skin, a protection for the body, enabling an immediate proximity with the air. The inflatable carries within itself the idea of the pneuma of breathing; an immediate relationship to the living, to the event, to life.
The exhibition reveals this human dimension of the «pneumatic», from the first industrial and military exploitations (airships, weather balloons, floating assemblies, inflatable decoys...) to the experiences developed by numerous artists designers and architects.
In the middle of the 20th century the appearance of new materials (rubber and derivatives, plastics, woven fishnet...) multiplied the possible uses and practical applications of inflatable structures.
In keeping with the "achieved utopia" by Richard Buckminster Fuller, numerous architects gave inflatables an architectonic credibility, such as Victor Lundy, Walter Bird, Frei Otto, Gernot Minke, Cedric Price and Arthur Quarmby. In May 1967, a symposium on the subject created a stir in Stuttgart and would constitute the reference for the collectives in search of mobile and modular architecture like Archigram, Ant Farm, Eventstructure Research Group, thus for artist the world over such as Graham Stevens or Panamarenko, architects (Jean Aubert, Jean-Paul Jungmann, Antoine Stinco, Hans Walter Muller, Johanne et Gernot Nalbach or Günther Domenig and Eilfried Huth). But it was through a a few mythical exhibitions that the inflatable would find an international echo and a public image, notably the exhibition at the Musée d’art moderne of the City of Paris in 1968, and the pavilions of the Universal Exhibition in Osaka in 1970 (of which those of Yutaka Murata) and finally Documenta V in 1972 in Kassel where artists and architects such as Christo, Hans Hollein, Haus-Rucker-Co, Coop Himmelb(l)take over public spaces with their works.
Henceforth, the inflatable, takes the form of furniture, dwellings, structures. The plastic polymers became more common and opened an extraordinary blossoming of creations, of forms and of colours. Furniture by Bernard Quentin, A.J.S. Aérolande, Quasar, De Pas, Urbino and Lomazzi, would accompany the pop art imagery and that of a "lucidity" of decorations and uses.
The ecological debate would soon take hold of the subject, for if at that time we were not yet wary of plastic and of other derivatives of petrol, inflatable architecture on the contrary appeared to be an "architecture of the air ", removing itself from the definitive and irreversible entry into time and space, escaping foundations and heavy materials. In England for example, the artist Graham Stevens worked on giving an ecological dimension to the use of pneumatic structures.
It also acquired a critical and political function. The ephemeral nature of the inflatable does indeed give it an intemporal dimension, that of the event, of the action, of participation. It is the instrument of an intervention, which did not escape artists such as those of the Gruppo N, or Piero Manzoni, Yves Klein, Hans Haacke, Otto Piene, Marinus Boezem, Lars Englund, Andy Warhol… and the architects who would make it the instrument of an alternative criticism like UFO, Utopia or the creators of the Viennese radical scene. Harbingers of the contestation which rumbled amongst the young generation, the inflatables act as a prism for viewing the world which surrounds us in another way (like the Urboeffimeri of UFO) and in order to live together differently (Instant City, Ibiza, 1971). The inflatable is thus used by the group A.J.S. Aérolande, made up of Jean Aubert, Jean-Paul Jungmannand Antoine Stinco, to call into question the competition the prix de Rome just before May ‘68 and to propose a new way of building, modular, festive and endlessly transformable.
After the petrol crisis at the end of the 1970’s which would sound the death knell of an ideology of the use of plastics, the inflatable progressively faded away, the post-modern current jeopardising the image of this industrial product. But since about ten years, with the appearance of more ecological new technologies, the inflatable has regained its reputation and represents an alternative for a number of architects (Diller Scofidio + Renfro, Nicholas Grimshaw, Arata Isozaki, Herzog & de Meuron, Snøhetta…). The inflatable enables the reinvention of spatial possibilities, introducing different perceptive and cognitive experiences. The recent appearance of organic textiles allows us to foresee the development of research where the inflatable could offer new architectural and design options and introduce new constructive principles, which the experiences of Achim Menges, amid.cero9, Kengo Kuma, Mad Architects Zero, Selgascano demonstrate...
Curators: Frédéric Migayrou, Deputy Director - Musée national d’art moderne – Centre of Industrial Creation, Centre Pompidou and Valentina Moimas, custodian of the department of Architecture at the Musée national d’art moderne – Centre of Industrial Creation Centre Pompidou.
„ Für mich ist ein Buntglasfenster die durchscheinende Trennung zwischen meinem Herzen und dem Herzen der Welt. Buntglas ist ergreifend, es verlangt Feierlichkeit, Leidenschaft. Es muss durch das aufgenommene Licht zum Leben erwachen. “ Marc Chagalll
Von November 2020 bis März 2021 präsentiert das Centre Pompidou-Metz seine neue Ausstellung Chagall. Überbringer des Lichts, die erstmals der Bedeutung von Licht und Glasmalerei im Werk des Künstlers auf den Grund geht.
Die Modelle der für zahlreiche Gebäude in der Region Grand Est (Metz, Reims, Sarrebourg), im benachbarten Deutschland (Mainz) und in anderen Ländern der Welt (Israel, USA, England, Schweiz) geschaffenen Buntglasfenster sind zum ersten Mal an einem Ort vereint und werden gemeinsam mit einer bedeutenden Zahl von Gemälden, Skulpturen, Keramiken und Zeichnungen aus den Sammlungen des Centre Pompidou, des Musée National Marc Chagall in Nizza, internationalen Museen und Privatsammlungen gezeigt. Anhand dieser Werke kann das Schaffen eines Künstlers neu entdeckt werden, der frei von einer Technik zu nächsten, vom Judentum zum Christentum, von der kollektiven Geschichte zur Privatsphäre des Künstlers, von Tradition zu Subversion wechselte und sich keinen Dogmen verpflichtet fühlte. Sie beleuchtet den historischen und politischen Kontext der einzelnen Aufträge und zeigt auf, wie Chagall Zeichen und Symbole vor dem Hintergrund eines humanistischen Ideals der Freiheit und des Friedens verwendete und transformierte.
Im Frankreich der Zeit nach dem Zweiten Weltkrieg und unter dem Einfluss einer Erneuerung der sakralen Kunst trachtete Chagall danach, der „ müden Menschheit in einer Epoche, in der alte religiöse oder andere Ideale verblassen “, neue Lebenskraft zu schenken und sehnte sich danach, „ einen Lichtstrahl zu erblicken, der einen neuen Sinn des Lebens erkennbar macht “. In der Überzeugung, dass jede Gesellschaft, jede Person für ihr Überleben die Hilfe einer übernatürlichen Macht benötigt, lässt Chagall in seinem von Entlehnungen und persönlichen Erinnerungen durchsetztem Werk die Mehrdeutigkeit der religiösen Symbolik, ihre Porosität und die Möglichkeit einer der Konformität entbehrenden Erzählung aufleben.
Für Chagall ist die Glasmalerei der ideale Raum, diese unsichtbare Kraft in Erscheinung treten zu lassen. Denn jenseits des technischen Aspekts sieht er sie als eine Erscheinung, „ ein mystisches Ding, das durch das Fenster kommt “. Der Künstler sublimiert den Werkstoff Glas, der mit der Malerei verschmilzt, sich mit Himmelsstrahlen und Architektur verbündet, um sich das zur Schnittstelle werdende Werk neuen Dimensionen öffnen zu lassen. Diese Alchemie ist das Ergebnis des Zusammentreffens des Talents des Malers mit dem einzigartigen Savoir-faire der meisterhaften Glasmacher Charles Marq und Brigitte Simon. Von den ersten Zeichnungen bis zu seiner Einbindung in die Architektur zeigt die Ausstellung die verschiedenen Phasen der Entstehung eines Buntglasfensters.
Diese Ausstellung ist Teil der Feierlichkeiten zum 800-jährigen Bestehen der Kathedrale von Metz, für die Marc Chagall mehrere Buntglasfenster gestaltet hat. Gleichzeitig bildet sie einen Höhepunkt des Jahrestags des Centre Pompidou-Metz sein, das im selben Jahr seinen zehnten Geburtstag feiert.
Kurator:
Kuratiert wird die Ausstellung von Elia Biezunski, Beauftragte des Direktors/der Direktorin des Centre Pompidou-Metz, mit Unterstützung von Anne Dopffer und Jean-Baptiste Delorme, Ausstellungskuratoren am Musée National Marc Chagall.
Die Ausstellung wurde in Zusammenarbeit mit dem Musée national Marc Chagall konzipiert.
"For myself, a stained-glass window represents the transparent partition between my heart and the world’s heart. The stained-glass window is thrilling, it needs to be serious and fascinating. It has to live by the light which passes through it." Marc Chagall
From November 2020 to March 2021, the Centre Pompidou -Metz is to present an unprecedented Chagall exhibition. The Emissary of Light which will explore the importance of light and of the stained-glass window in the artist’s work.
Models of stained-glass windows produced for numerous buildings, in the Grand Est region (Metz, Reims, Sarrebourg), neighbouring Germany (Mayence) and at the international level (Israel, United States, England, Switzerland) will be brought together for the first time and will be matched with an important group of paintings sculptures, ceramics and drawings from the collections of the Centre Pompidou, the Musée national Marc Chagall de Nice, from international museums and private collections. These creations will enable the rediscovery of an oeuvre which freely passes from one technique to another, from the secular to the sacred, from Judaism to Christianity, from shared history to the intimacy of the artist, between tradition and subversion and outside of any dogma. It will highlight the historical and political context of each commission and clarify the way in which Chagall used and transformed signs and symbols in a humanist ideal of liberty and peace.
In post Second World War France and in the context of the renewal of sacred art, Chagall attempted to reinvigorate "exhausted humanity, during a time when the old religious or other ideals were withering and aspired to catch a glimpse of a ray of light which would illuminate a new meaning of life". Convinced of the necessity of a supernatural power for the survival of any society or individual, Chagall’s work revives the polysemous nature of religious signs, their porous nature, and the possibility of a non-conformist narrative, freely scattered with personal recollections.
The stained-glass window represents for Chagall the place par excellence for the apparition of this invisible force. Above and beyond a technique, he considers it as a phenomenon, "something mystical which passes through the window". The artist exalts the glass matter which fusions with painting, which in turn joins forces with celestial beams and architecture to open up the work, becoming an interface, to new dimensions. This alchemy, results from the association of the talent of the painter with the unique skills of the master glass makers Charles Marq and Brigitte Simon. The exhibition will show the different stages of the elaboration of a stained-glass window, from the first drawings to its integration into the architecture.
This exhibition will be part of the celebrations for the eight-hundredth anniversary of the cathedral in Metz, in which several stained-glass windows were created by Marc Chagall. It will also mark a high point in the Centre Pompidou’s existence, which will celebrate this very year, its tenth anniversary.
Curator:
The curation of this exhibition will be led by Elia Biezunski, Mission Head assigned to the Director of the Centre Pompidou-Metz, with the collaboration of Anne Dopffer and Jean-Baptiste Delorme, curators of the exhibition at the Musée national Marc Chagall, Nice.
Exhibition designed in partnership with the Musée national Marc Chagall, Nice
Yves Klein, bekannt für sein monochromes Blau, teilte mit vielen europäischen und japanischen Künstlern nach dem Zweiten Weltkrieg eine neue Herangehensweise an die Kunst, die von jeglicher Materialität losgelöst war. Angestoßen durch die Eroberung des Weltraums ergreifen diese Künstler durch Darstellungen des Kosmos und Werken aus Luft, Wasser und Feuer Besitz vom Himmel. Auf der utopischen Suche nach Freiheit streben Yves Klein und seine Zeitgenossen danach, den Menschen wieder mit dem Universum zu verbinden, indem sie neue unendliche und immaterielle Räume erforschen, denen Sensibilität innewohnt.
Pour les passionnés et les curieux, une visite exceptionnelle de deux heures vous fera pénétrer au cœur de l'univers d'Yves Klein. Accompagné par un médiateur, vous découvrirez une nouvelle approche de l’art détachée de toute matérialité, qu'il a partagé avec de nombreux artistes européens au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Bousculés par la conquête de l’espace, ces artistes s’approprient le ciel à travers des représentations du cosmos et des créations de sculptures aériennes. Avec Lucio Fontana, Yves Klein explore le mouvement spatialiste qui définit une unité du temps et de l’espace née de l’interaction avec le spectateur. L’espace est selon lui habité par la sensibilité de chacun : il développe alors une « Architecture de l’air » (1958-1961), où le ciel, infini et immatériel, devient son atelier.
Author : | Orchestre national de Metz |
La lumière spirituelle de La Flûte enchantée, les soyeuses enluminures de Messiaen, les fééries moirées de l’orchestre ravélien, sans oublier ces « notes bleues » venues du jazz qui traversent La Création du monde de Milhaud ou l’emblématique chef-d’œuvre de Gershwin… On ne saurait imaginer triomphe de la couleur plus éclatant que ce programme inspiré par l’art de Marc Chagall. D’autant que le concert bénéficiera de la présence de l’une des figures majeures du piano français, Roger Muraro, dans une Rhapsody in Blue qui s’annonce éblouissante.
direction musicale Jacques Mercier
piano Roger Muraro
Programme :
Wolfgang Amadeus Mozart La Flûte enchantée, Ouverture
Olivier Messiaen Les Offrandes oubliées
George Gershwin Rhapsody in Blue
Darius Milhaud La Création du monde, op. 81a
Maurice Ravel Daphnis et Chloé, Suite no2
Concert précédé à 19:00 de la conférence « Clés d’écoute » par Philippe Malhaire
Salon Claude Lefebvre
Entrée libre
Cette introduction au concert offre un éclairage sur le thème, le contexte, le style ou encore l’esthétique des œuvres interprétées pour mieux appréhender la musique en disposant de quelques clés d’écoute.
Dans le cadre de l’exposition Chagall. Le passeur de lumière
Author : | Orchestre national de Metz |
Les musiciens de l’Orchestre national de Metz aiment se retrouver en plus petit effectif pour partager des affinités artistiques, nouer d’autres relations musicales et faire découvrir au public la richesse du répertoire de musique de chambre. Pour ces concerts proposés hors les murs en lien avec des partenaires de la Cité musicale-Metz, David Reiland, directeur musical et artistique, leur laisse carte blanche pour composer et interpréter leurs programmes. Ils ont imaginé un concert à partir de l’exposition Chagall. Le passeur de lumière.
Violons Emilien Hu, Satoko Takahashi
Alto Noriko Inoue
Violoncelle Maria Andrea Mendoza
Clarinette Iñaki Vermeersch
Piano Juliette Boubel
Programme
Sergueï Prokofiev Ouverture sur des thèmes juifs
Piotr Ilitch Tchaïkovski Trio en la mineur, op. 50
Aaron Copland Study on a jewish theme, Vitebsk
Olivier Messiaen Quatuor pour la fin du temps, Liturgie de Cristal et Louange à l’éternité
Wolfgang Amadeus Mozart Trio Les Quilles
En partenariat avec L’Arsenal – Cité musicale de Metz
Chaque weekend et pendant les vacances scolaires, partez à la découverte des expositions temporaires du Centre Pompidou-Metz. En famille ou entre amis, vous percerez les mystères des grands chefs-d’œuvre de l'histoire de l'art moderne et contemporain, accompagnés par l'un de nos conférenciers.
CALENDRIER FÉVRIER 2021
Dimanche 7 février à 11h Samedi 13 février à 11h Dimanche 21 février à 11h Samedi 27 février à 11h
|
|